Super User

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une pièce de Molière   mise en scène par  Rita Sallustio

 

 Fem savante
 

Représentation au BOZAR en Octobre 2007

Les comédiens

 

Molière

portrait Molière

Le Metteur en scène

Résumé de la pièce

Deux sœurs se disputent au sujet  du mariage : Henriette rêve au mariage d’amour et Armande le rejette tout en ne refusant pas la possibilité d’un éventuel mariage platonique, à la condition que le bien aimé soit comme elle,  féru de philosophie.
Le fougueux Clitandre,  amoureux d’Armande mais rejeté par elle, offrira l'ardeur de son brûlant amour à la douce Henriette, sœur d'Armande.
Son mariage avec sa bien-aimée est cependant fort compromis. En effet, Philaminte, la mère autoritaire d’Henriette à décidé d’unir sa fille à Monsieur Trissotin, un érudit, une sorte de poète qui fait beaucoup jaser autour de lui mais …de qui on parle… en Société.    
L’espoir de Philaminte est que sa fille Henriette, peu érudite à son goût,  devienne – malgré elle et par ce mariage - une femme dite "savante", à son modèle, ouverte aux sciences et à la philosophie,  comme l’est sa première fille Armande et sa belle sœur Bélise.  
Pour ces 3 femmes, imbibées de philosophie jusqu’à la moëlle de l’os, Monsieur Trissotin est le point de référence contre qui aucune critique n’est permise en leur présence.
Elles sont loin, cependant de penser que derrière le verni d’érudit que Monsieur Trissotin montre en façade, se cache en fait un personnage mesquin,  un vulgaire chasseur de dote.
Le fougueux Clitandre le sait et tentera de le démasquer dans un face-à-face en présence de Philaminte et d'Armande. Ce sera l’échec, semble-t-il.  
Monsieur Trissotin, imbu de sa personne et sûr de lui  ne peut s'imaginer le nombre de personnes qu'il indispose.   
Il aura un autre face-à-face public avec  Maître Vadius, un autre érudit de la place et son concurrent direct. Celui-ci va - sans le vouloir – semble-t-il -  critiquer violemment une poésie qu'il à écrite.  Ne sachant pas que c'est Trissotin l'auteur, Vadius se confondra d'abord en excuses.  Mais la relation hypocrite entre les 2 savants va dégénérer en une joute ridicule .
Clitandre ne se rend pas. Pour sauver son amour et son mariage, il demandera innocemment de l’aide à la tante d’Henriette, la papillonnante Bélise. Mais ce personnage éthéré rêvant d'amour sans pouvoir en identifier le sens ne lui sera d’aucune utilité.  
Il s’adressera aussi à Ariste, l’oncle d’Henriette, un personnage discret et raisonnable, qui l'aidera de manière efficace.
Chrysale, le père  a  bien du mal à imposer son autorité au sein de sa famille. Il affirme vouloir le bonheur de sa fille cadette mais est-ce sûr ? et puis comment compte-t-il y arriver ? Sa femme, sa fille Armande et  sa sœur Bélise sont toutes les trois, chacune pour des raisons différentes,  hostiles au mariage entre Clitandre et Henriette.
Il y a bien la fidèle servante Martine qui soutient Chrysale, son Maître bien aimé, mais son bon sens de femme populaire ne parvient pas à toucher tous  les esprits fanatisés du beau langage.
C'est finalement le sage Ariste qui réussira à rétablir l'équilibre dans ce désordre de sentiments. Comme il l'avait promis, les jeunes amoureux pourront grâce à lui se marier et réaliser leur rêve.
Grâce au stratagème qu’il invente (et qui est à découvrir dans le spectacle) le véritable visage de Trissotin sera mis à nu publiquement, à la grande surprise de tous.
Le beau mariage d’amour entre Clitandre et Henriette pourra être célébré.  Philaminte a compris son erreur …Chrysale a gagné sa bataille, Martine voit son bons sens récompensé.
Mais ce n'est pas un « happy End » pour tout le monde car il reste, sur l'image du mariage,  les yeux interrogateurs de  Bélise et les yeux mouillés d’Armande.

Quelques mots sur la pièce

Ecrite en 1672, cette pièce en 5 actes de Molière est un grand classique du théâtre français.
C’est une comédie bourgeoise – Une satyre de société - Un Duel de sentiments humains, nobles et louables en soi.  En effet, peut-on reprocher à qui que ce soit  de vouloir se marier, d’avoir des enfants, ou bien de vouloir étudier les sciences savantes.  Oui, des femmes qui voulaient se marier, il y en a eu à toutes les époques, mais des femmes qui voulaient étudier, il fut un temps où cette pensée semblait …folie furieuse …et Molière nous le raconte à sa manière.
Molière prend un malin plaisir à pousser chacun des sentiments exprimés  vers l’exagération extrême (frôlant souvent le fanatisme) pour les transformer en une sorte de folie contagieuse et collective.  
Bien que basé sur la réalité des faits et sur une logique cartésienne, les dialogues deviennent peu à peu grotesques tant ils sont exagérés.
Les discussions deviennent tellement énormes dans la bouche des personnages que les situations qu’ils défendent tombent à pic dans le ridicule.
Cette dynamique de construction, typique chez Molière,  fait que la pièce est montée en duel continu entre les personnages.
Hommes et femmes vont - à tour de rôle – tenir des propos d'abord acceptables pour devenir des propos révoltants et  repoussants; ils seront parfois tendres jusqu’à la bêtise mais aussi insupportables jusqu’à l’écœurement.
Leurs points de vue fusent de tous côtés sous forme de revendications violentes : on parle du mariage, de son pourquoi et de son comment, de la perception du rôle de la femme dans l’organisation de la vie familiale et de la société. Ce sont des revendications au goût très féministe pour l’époque: la lutte pour l'égalité des chances: la femme qui se veut libre et, qui refuse le mariage de raison, qui ambitionne au même titre que l'homme le droit d’étudier les sciences savantes, qui redimensionne sa place au sein de la famille et de la société.
Face à ces revendications nouvelles, l’homme ne peut que se battre, puisqu'il veut continuer à conserver d'une manière absolue  tous ses privilèges,  tous ses droits au sein de l’organisation sociale et familiale.
A ces 2 thèmes antagonistes,  Molière greffe, dans sa pièce, par le biais de l’érudition, le ridicule d’une préciosité malsaine et qui n'est, rien d'autre, que le reflet d’une société malade.  
Pourquoi reprendre cette pièce?
Pour goûter au génie et au talent de Molière? ….oui, certainement!
Pour revivre les premiers chapitres de la genèse d'une bataille…inachevée?... oui, car la lutte pour l'égalité des chances reste un domaine brûlant.
Mais aussi pour se rappeler simplement  qu'il n'y a rien de nouveau sous le soleil… car  l'équilibre et le déséquilibre, le raisonnable et le déraisonnable, l'amour et la raison ou encore la crédibilité et la folie, ne peuvent exister l'un sans l'autre dans la vie.  
Pour se convaincre toujours et encore que la construction de la vie est faite sur la dualité.
Que cette dualité est vitale pour l'évolution de la Société et  des Etres car elle représente l'élément dynamique dans une société saine et évolutive.   Alors…. Faisons "fi " des carcans passéistes et n'hésitons pas à  nous battre pour un avenir meilleur.

 

 

 Distribution

 

 Technique

 

Video

 

   
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  ODILE QUINTIN Philaminte
  JACQUES POLLFOORT: Chrysale
  NICOLAS JAMSIN: Ariste
  MERVEILLE RODRIGUEZ: Armande
  VANESSA PEHARPRE: Henriette
  AUGUSTE DE DECKER: Clitandre
  PASCALINE DEUQUET: Belise
  NICOLE TIMMERMANS: Martine
  ANDREA MURZI: Julien
  STEPHAN KADDOUR: Trissotin
  DIMITRI KARAFILAKIS: Vadius
  MARIA DI NUNZIO: Le Notaire
  MARIGAEL DURIEZ: Danseuse masquée
  OLGA DUCOUT: Danseuse masquée

 

 
Adaptation, Mise en Scène,
Sons & Lumière :

Rita SALLUSTIO
  Décors : Gwendoline d'HUART
  Costumes: Costhea
  Affiche:  
  Danses: Maria DI NUNZIO
  Chant: Véronique RIHOUX
 
 
 


 
 
 

 

 

 

 

 

 

         

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Photos

 

 

femmes savantes
femmes savantes femmes savantes

 

 

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une pièce d' Arthur Miller      adaptée et mise en scène par  Rita Sallustio

 

 Sorcieres de Salem

Représentation à l'Espace Senghor octobre 2008

 Arthur Miller

Arthur Miller

Le Metteur en scène

Résumé de la pièce

Les "Sorcières de Salem" (titre original anglais : the Crucible) est une pièce de théâtre écrite par Arthur Miller en 1952. Basée sur des événements entourant le procès historique de sorcellerie en 1692 à Salem, dans le Massachusetts.
L'affaire a eu un impact si profond qu'elle a contribué à réduire l'influence de la foi puritaine sur le gouvernement de la Nouvelle-Angleterre et a indirectement conduit aux principes fondateurs des Etats-Unis.

L'origine de son écriture

 
La pièce est une allégorie à cette histoire passée. L'apogée du maccarthisme arrivera trois ans après que cette pièce ait été écrite. En effet, les années 50/60 sont des années de guerre froide aux Etats-Unis. Il y a une psychose créée de la part du gouvernement Mac Carthiste envers la peur du communisme. On emprisonnait tous ceux qui semblaient être une menace pour l'Etat et surtout les intellectuels de gauche, comme cela a été en Italie dans les années soixante et septante lors de la montée des brigades rouges.
Pourquoi la reprendre auourd'hui?
L'Année 2008 est la date anniversaire des 60 ans de la signature de la Charte des Droits de l'Homme.
La pièce d'Arthur Miller est à mon sens, un témoignage fort qui rappelle que beaucoup de pays n'ont pas encore signé la charte. Il est grand temps, je pense  que les décideurs politiques fassent pression pour que le respect de cette charte devienne une réalité pour toutes les nations du monde et quitte définitivement le monde du rêve et devienne une réalité
Avec la troupe, je veux également fêter le 90ème anniversaire de Nelson Mandela, véritable icône vivante de la liberté.
Nous reprenons cette pièce pour lui rendre hommage et exprimer à notre manière que l'esprit de démocratie et la situation politique aux Etats-Unis et dans beaucoup d'autres nations du monde, est loin d'être idéale; parce que des injustices continuent à être perpétrées et que la chasse aux sorcières n'a jamais cessé, même si on en parle moins ou en d'autres termes.
 
Pour l'ATIE, jouer les "Sorcières de Salem", c'est soutenir toutes les actions importantes et isolées à caractère humanitaire, ensemble avec des ONG courageuses du monde entier, avec les hommes et les femmes du monde de la culture qui s'engagent et qui dénoncent… une à une… les histoires révoltantes d'êtres humains qui sont arrêtés - dans l'ombre de la justice - pour des crimes qu'ils n'ont pas commis, qui sont suppliciés, jetés en prison et oubliés de tous.
Aussi, en réalisant cette pièce, notre pensée va vers tous les prisonniers du Monde et nous dédions symboliquement cette pièce à Léonard Peltier.
Qui est Léonard Peltier ?
Léonard Peltier est un Amérindien qui a milité pour l'abolition des réserves indiennes dans les annés 70.
Ces réserves représentent encore aujourd'hui un triste symbole humiliant et insultant pour les habitants d'un pays qui se veut champion de la démoncratie.
Léonard Peltier, a été emprisonné - sans que soit réellement prouvée sa culpabilité suite à l'assassinat de 2 policiers, chargés de la surveillance de ces réserves.
Son emprisonnement a suivi celui de Nelson Mandela - emprisonné en Afrique pour violence et même chef d'accusation.
 
Aujourd'hui Nelson Mandela est libre et Léonard Peltier, lui est toujours en prison, oublié dans son combat.
J'ai choisi Renaud et sa provocation constructive pour rappeler,  à travers sa chanson intitulée "Léonard", l'existence malheureuse de cet homme qui ne peut qu'être libéré.
Cet archétype de la littérature américaine rappelle, pour moi, que la liberté est une obligation citoyenne. Elle est entre nos mains et nos mains seules.
 

 

 Distribution

 

 Technique

 

Video

 

   
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  Jacques  Pollfoort: Révérend Parris
  Maria  Di Nunzio: Abigael Williams
  Zsuzanna  Dakai: Tituba
  Véronique  Rihoux: Mary Warren
  Bénédicte  Delarue: Cathy Putnam
  Joanna  Basztura: Mercy Johns
  Catherine  Peuvet: Betty Williams
  Patrizia  Gori: Rebecca Nurse
  Sebastian  Vanderick: John Proctor
  Nicole  Timmermans: Tina Putnam
  Pascaline  Deuquet: Anne Putnam
  Stephan  Kaddour: Révérend Hale
  Merveille Rodriguez Garcia: Elisabeth Proctor

 

 
Adaptation, Mise en Scène,
Sons & Lumière :

Rita Sallustio
  Décors projetés et Régie : Christophe Bravin
  Costumes: Costhea, Sara
  Affiche:  
  Programme: Rita Sallustio, Patrick Aberg
  Secrétaire-Accueil: Jenny Rindin
  Assistante ATIE: Nicole Dassonneville
 
 

 


 
 
 

 

 

 

 

 

 

         

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Photos

 

 

sorcières salem...
sorcières salem (40) sorcières salem (40)

 

 

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une pièce d' Oscar WILDE      adaptée et mise en scène par  Rita Sallustio

 

LEventail de Lady Windermere  

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Représentation à l'Espace Senghor  Novembre 2009

 

wilde portrait A52 

Oscar Wilde

 wilde caustique

Le Metteur en scène

Résumé de la pièce

La jeune Lady Windermere respire simplicité et joie de vivre. Elle reçoit la visite de Lord Darlington, jeune Dandy à la réputation scandaleuse qui s'empresse de la couvrir de compliments. Arrivent mal à propos la Duchesse de Berwick, accompagnée de sa fille Agatha et de Lady Plymdale.
Dès la sortie de Darlington, elles expriment  à Lady Windermere leur compassion sur une bien triste situation qui concerne la jeune femme…
Mais de quelle situation s'agit-il se demande Lady Windermere ? Etonnées, La Duchesse de Berwick et Lady Plymdale s'empressent de lui apprendre ce que tout leur entourage sait déjà : Lord Windermere entretient des relations apparemment intimes avec une inconnue du nom de Mrs Erlynne, dont la réputation est tout bonnement scandaleuse.
La jeune Lady n'en croit pas ses oreilles : après seulement deux ans de mariage, après la naissance de leur petit garçon qui n'a que quelques mois,  il est impossible que son mari, si aimant, lui soit infidèle !
Pour en avoir le cœur net, elle fouille le secrétaire de son mari et trouve rapidement une preuve de cette trahison dont tout le monde parle : le carnet dans lequel Lord Windermere consigne toutes ses dépenses, et dans lequel le nom de Mrs Erlynne apparaît plus d'une fois...
Quand son mari arrive, Lady Windermere lui demande des explications. Lord Windermere nie toute relation intime avec Mrs Erlynne, et explique les dons d'argent par une simple  volonté d'aider la dame à se réinsérer dans " la bonne société". Il ira même jusqu'à imposer la présence de Mrs Erlynne à la fête organisée par sa femme le soir-même pour son anniversaire.
Lady Windermere, convaincue de l'adultère de son mari, ne peut supporter cet affront et menace de créer un scandale à l'arrivée de Mrs Erlynne : elle utilisera le bel éventail que son mari lui a offert en cadeau d'anniversaire et en gage de son amour pour gifler la rivale publiquement.
La fastueuse soirée d'anniversaire s'annonce très tendue entre le couple.
Mrs Erlynne impose sa présence devant un public surpris et curieux;  son entrée fait rumeur et  déclenche chez Margaret des sentiments de colère et de haine, qui renforcés par l'alcool, l'enivrent et la poussent à la vengeance.
Comment? En quittant son foyer et en rejoignant Lord Darlington avec l'intention de devenir sa maîtresse!.... Pourquoi se gênerait-elle finalement ? Elle est bafouée en public par son mari et le beau Lord Darlington vient de lui déclarer son amour passionné il y a quelques minutes à peine?!...; elle confie les raisons de sa fuite à Rosalie, sa fidèle gouvernante.  
La mystérieuse Mrs Erlynne, quant à elle, passe, durant la soirée, des bras d'Arthur Windermere aux bras de Lord Augustus.
Mais, soudainement, elle va s'inquiéter de l'absence de Margaret Windermere lorsqu'elle apprend, par Rosalie, que Margaret a fuit son foyer en pleine nuit pour se rendre chez Lord Darlington. Rosalie aussi souffre de cette situation.
Mrs Erlynne ne lui est pas étrangère; elles se connaissent depuis plus de vingt; toutes deux ont peur de redonner vie à un drame du passé; un drame passé qui vraisemblablement les ont rendues complices l'une de l'autre.
Margaret a été abandonnée par sa mère il y a 20 ans. Margaret va-t-elle, elle aussi, abandonner son fils, au même âge?
Les deux femmes vont décider de faire l'impossible pour convaincre la jeune Margaret Windermere de revenir vers son foyer, auprès de son mari et de son fils, afin que l'histoire ne se répète pas.
Dans le 3ème acte enfin,  le face-à-face s'établit entre deux femmes dont l'une hait l'autre et dont l'autre veut sauver celle qui la hait.
Margaret ne peut que se méfier de cette mystérieuse femme venue d'ailleurs;
Elle ne veut pas retourner auprès de son mari; alors, pourquoi cette femme  insiste-t-elle ? Pourquoi Rosalie insiste-t-elle aussi?
Margaret est troublée! Aussi, face à de telles insistances, elle va finalement se laisser convaincre à rentrer chez elle!
Par manque de chance, les 3 femmes n'ont pas le temps de quitter la maison de Lord Darlington sans se faire remarquer et doivent se cacher un moment avant de fuir les lieux. Dans la confusion, Margaret oubliera son éventail tombé sur le sol. Lord Darlington –à la vue de l'éventail qu'il s'empresse de cacher sous le fauteuil, à l'insu de ses invités, pressent  une présence étrangère dans sa maison…..
A la fin de l'Acte III, après la découverte par Cécil  Graham de l'éventail qui appartient à Margaret Windermere et alors que tous sont brutalement convaincus de la présence de cette jeune femme dans la maison de Darlington…c'est l'énigmatique Mrs Erlynne qui apparaît ….à la surprise de tous!.
A cette époque, pour une femme, la perte de son éventail est catastrophique : c'est perdre le symbole de son engagement amoureux vis-à-vis du mari. Bien évidemment Margaret Windermere risque maintenant d'être plongée dans le scandale de l'adultère si la vérité éclate. Quelle ironie du sort, pour une femme blessée qui voulait simplement rendre la pareille à son mari.
Ici aussi, la mystérieuse Mrs Erlynne sauvera Margaret en prenant sur elle les éclaboussures du scandale annoncé.    
Le trouble de Margaret ne cesse d'augmenter…pourquoi cette femme, qu'elle ne connaît pas, l'a sauve du scandale?
Toutes sortes de questions vont lui remplir la tête.
En moins d'une nuit,  les sentiments de Margaret vont complètement virer de bord; la vision de la société qui l'entoure, la vision de sa propre vie…tout a  pris une nouvelle coloration. En une seule nuit, une pensée différente a envahi la jeune femme, qui en quelque sorte renaît de ses cendres.
 …"Comme c'est étrange, dit-elle… ! J'étais prête à déshonorer cette femme en public dans ma propre maison. Hors, cette femme, dont j'ignore tout, accepte le déshonneur public afin de me sauver:…Il y a une ironie amère dans les choses, une ironie amère dans notre façon de classer les femmes en deux catégories, les vertueuses et les immorales".
Après de nombreuses hésitations, Margaret n'avouera finalement jamais à son mari la vérité.
Car finalement où se place la vérité?
Margaret Windermere ignore tout de Mrs Erlynne; elle ne saura jamais que cette femme, revenue mystérieusement du passé, est sa mère.
Mrs Erlynne choisit de ne rien lui dire et s'excuse avant de disparaître à nouveau tout aussi mystérieusement.
Elle repartira cependant en ayant conquis l'amitié, l'admiration et vraisemblablement la place qu'elle mérite dans le cœur de cette jeune femme de 21 ans.
Oscar Wilde prend le parti de faire régner le silence des mots entre Mère et Fille, qui se reconnaîtront intimement au-delà des mots et des apparences.
"(…) Parler, c'est revivre la dure réalité; les actions sont la première tragédie de la vie, les mots sont la seconde! Les mots sont sans pitié (…)".
Nous sommes dans une Comédie brillante, et comme le veut la tradition le "Happy End" est la note finale du spectacle.
 

 

 Distribution

 

 Technique

 

Video

 

   
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  Sofija Klaric: Margaret Windermere
  Maria Di Nunzio: Professeur de danse
  Andrea Murzi: Danseur de Charleston
  Erica Gerretsen-Phipps: Rosalie
  Marc Berthiaume: William Darlington
  Patrik Aberg: Arthur Windermere
  Odile Quintin: Duchesse de Berwick
  Nicole Timmermans: Lady Plymdale
  Hanna Bouzekri: Agatha Berwick
  Bernhard Knoblach: Jonhattan Hooper
  Pascaline Deuquet: Mrs Erlynne
  Jacques Pollefort: Lord Augustus
  Thierry Masson: Cecil Graham
  Jacques Braibant: James Dumby
  Gil Warzee: Diana Dumby
  Fiammetta Berardo: Lady Stutfield
  Anne Ropers: Femme de chambre
  Ana Margarida Gomes: Femme de Chambre
  Assia Menouar: chante "petite fleur"
 
 
Chorégraphie, danses: 
Maria Di Nunzio

 

 

 
 Adaptation et
Mise en Scène:      

Rita Sallustio
  Décors et Régie : Rita Sallustio, Christophe Bravin
  Costumes: Costhea, Sara
  Affiche: Rita Sallustio, Marc Berthiaume
  Programme: Rita Sallustio, Bernhard Knoblach
  Secrétariat ATIE: Jenny Rindin
 



 


 
 
 

 

 

 

 

 

 

         

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une pièce de Yvon Taburet   mise en scène par  Rita Sallustio

 

 GRAND-MERE EST AMUREUSE

Représentation au BOZAR
Octobre 2013
 

Résumé de la pièce

Nicole Legrand n’en revient pas ! Que sa fille Marion puisse avoir un copain, elle le comprend aisément, mais que sa mère lui annonce la même chose ! La pilule est plus dure à avaler. Lorsque mamie lui révèle qu’elle a, pour fêter l’événement, invité son "fiancé" et la famille de celui-ci, alors c’en est trop ! Malgré leurs réticences, Nicole et Jean-Michel son mari verront arriver Gaston, le fiancé, vieux motard, poète original; Jacqueline la veuve au franc-parler; Gérard le fils de Gaston et Tatiana son épouse russe. Ces joyeux drilles toujours prêts à s’amuser ou à blaguer à toute heure du jour ou de la nuit vont rapidement exaspérer Nicole, abasourdie par tant de vitalité. Pour couronner le tout, à la suite d’un quiproquo malheureux provoqué par Mlle Paumier, la commère de l’immeuble, Nicole s’imaginera que Fred, l’ami de sa fille, est lui aussi amoureux de mamie. Comme le lui dit Jean-Michel : "Ta mère, ce n’est plus une mamie, c’est une bombe à retardement". Du rire assuré mais aussi de la tendresse et de l’optimisme dans cette comédie familiale qui propose un regard inhabituel sur le troisième âge.

Cette comédie raconte une tranche de vie, comme on en trouve beaucoup parmi nous et autour de nous. Elle met en lumière un problème de société: à savoir la place laissée à la relation amoureuse entre personnes du 3ème âge. Ce sentiment amoureux reçoit-il l'accueil qu'il mérite en termes d'estime, de confiance, de respect ? Il s'agit d'une belle peinture sociale sous forme de comédie piquante et pas si banale. Une pièce pleine de justesse, aux répliques savoureuses et spirituelles.

Ce qui est plaisant dans cette pièce.
 
L'histoire racontée est surprenante par son démarrage en force; on y sent immédiatement une énergie non contenue et de l'humour un peu sauvage.
Cette tranche de vie est un beau clin d'œil, très interpellant, qui souligne avec justesse beaucoup de clichés qui se développent autour de la relation amoureuse quelle qu'elle soit:
Qu'elle soit naissante entre 2 jeunes gens, ou bien mature au sein d'un couple bourgeois ou alors fougueuse entre un homme et une femme au-delà de la soixantaine, refusant la solitude et aspirant à une vie à deux, simple et heureuse.
Les aspects inter et intra-générationnelles sont dit avec doigté et laissent entrevoir très adroitement qu'ils peuvent devenir mal à vivre lorsqu'ils sont mal gérés.
Dans la vie rien n'est blanc ni noir. Pour moi, tout ceux et celles qui ne l'ont pas compris sont promis à de fâcheuses contrariétés. Quelle qualité de relations humaines peut-on développer en soi et autour de soi, si on oublie l'existence de la nuance et de la couleur?
La nuance, est essentielle dans la vie. C'est grâce à elle, en quelque sorte que l'on ne s'ennuie jamais.
Du rire mais aussi de la tendresse et de l’optimisme dans une comédie familiale qui réunit ou qui plus exactement confronte 3 générations de personnes aux opinions, et aux horizons culturels différents. L'auteur propose un regard inhabituel sur la relation amoureuse des hommes et des femmes poussés socialement dans la catégorie dite "du troisième âge".

Merci à Yvon Taburet  qui nous a écrit une histoire simple et qui nous invite par son humour à rompre la banalité d'une vie en mettant tout en couleur.

 

 

 Distribution

 

 Technique

 

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  Hanna Bouzekri
  Thierry Masson
  Nicole Vanhoutvinck
  Myriam de Pierpont
  Franco Saporito
  Anne Morelle
  Jacques Polfort
  Pascaline Deuquet
  Joanna Basztura
  Patrik Aberg

 

 
Adaptation,
Mise en Scène,
Sons & Lumière :

 

Rita Sallustio

  Décors projetés : Christophe Bravin
  Costumes: ABCD,Costhea, les acteurs
  Affiche: Théodore Kassapis
  Programme: Rita Sallustio
  Secrétaire ATIE: Jenny Rindin
  Accueil: Jenny Rindin, M.Di Nunzio
  Souffleurs F. De Pierpont, M.Di Nunzio
  Voix et danses S. Biasoli, M.Di Nunzio
 
 




 


 
 
 

 

 

 

 

 

 

         

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Grand-mère10
Grand-mère10 Grand-mère10

 

 

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une pièce de Molière      mise en scène par  Rita Sallustio

 

 Le Bourgeois Gentilhomme  Représentation au BOZAR 
Octobre 2012
 
 

Résumé de la pièce

Le Bourgeois gentilhomme est une comédie-ballet en cinq actes, en prose, de Molière, représentée pour la première fois le 14 octobre 1670, devant la cour de Louis XIV, au château de Chambord par la troupe de Molière. Cette pièce incarne le genre de la comédie-ballet à la perfection. Elle répondait au goût de l'époque pour ce qui était nommé les turqueries.

Nous sommes en 1670 dans la maison de Monsieur Jourdain, un bourgeois de Paris. M. Jourdain est un riche bourgeois dont l'obsession est d'appartenir à la noblesse. Il s'efforce pour y parvenir d'acquérir les manières et la culture nécessaires en multipliant les leçons particulières (musique, danse, escrime, philosophie) qui sont chacune d'entre elles des scènes parodiques. Quoique marié, il convoite une marquise qui se joue de lui avec la complicité de son amant, le comte Dorante. La fille de M. Jourdain, Lucile, aime Cléonte mais le père s'oppose à leur mariage parce qu'il n'est pas noble. Aussi les jeunes gens vont-ils user d'un stratagème pour obtenir son accord, en utilisant son goût des honneurs… 
L'ATIE vous invite à passer une belle soirée ou un bel après-midi en écoutant ou réécoutant cette belle Comédie classique toujours aussi juteuse en goût et en humour, malgré ses 5 siècles d'âge.

Le Bourgeois gentilhomme est une comédie-ballet en cinq actes, en prose, de Molière, représentée pour la première fois le 14 octobre 1670, devant la cour de Louis XIV, au château de Chambord par la troupe de Molière. Cette pièce incarne le genre de la comédie-ballet à la perfection. Elle répondait au goût de l'époque pour ce qui était nommé les turqueries.

 Bref rappel du contexte historique

L'Empire ottoman étant alors un sujet de préoccupation universel dans les esprits, et que l'on cherchait à apprivoiser. L'origine de l'œuvre est liée au scandale provoqué par l'ambassadeur turc Suleyman Aga qui, lors de sa visite à la cour de Louis XIV en 1669, avait affirmé la supériorité de la cour ottomane sur celle du Roi-Soleil. 

 

 

 Distribution

 

 Technique

 

Video

 

   
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Maria Dinunzio: Maître de Danse
Marie Alonzo: Maître de Musique
Luc Petit:
Maître d'Armes
Nicole Dassonneville:
Maître de Philosophie
Joanna Basztura:
Maître Tailleur
Katia Mattioni,
Isabelle Vandenbosche:
 
Elèves et laquais
Jacques Polfort:
Monsieur Jourdain
Pascaline Deuquet:
Madame jourdain
Nicole Vanhoutvinck:
Nicole, Servante
Franco Saporito:
Covielle, Valet
Renaud Aubecq:
Le Comte
Alice Jaume:
La Comtesse
Thierry Masson:
Chevalier
Elise Agnolini:
La fille des Jourdain
 
Danseuses:
 
Dorota Myszkorowska,
Maria Di Nunzio,
Lucia Badalamenti.
 

 

 

 
Adaptation,
Mise en Scène,
Sons & Lumière :

Rita Sallustio
  Régie décors: Franco Saporito
  Costumes, accessoires: Costhea, les acteurs
  Programme: Rita Sallustio, Patrick Aberg
  Secrétaire-Accueil: Jenny Rindin
  Affiche: Théodore Kassapis
 
 

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Photos


 

Bourgeois (14)
Bourgeois (14) Bourgeois (14)

 

 

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une pièce de Michel GERVAIS      mise en scène par  Rita Sallustio

 

 Affiche de la pièce Landru 2014

Création au BOZAR en Octobre 2013

Reprise à Agadir au Maroc en Mars 2014

 

 

Résumé de la pièce

Elle est présentée dans une ambiance d’euphorie d’après-guerre, au rythme du french cancan et de chansons tirées des chansonniers français des années 20.
C’est une histoire entièrement calquée sur la vie réelle de Henri-Désiré Landru, un criminel en série qui, un jour, sans trop savoir pourquoi, a basculé dans le piège de l’argent "facile" à gagner pour ensuite se retrouver dans l’obligation de tuer ses victimes (pour la plupart des femmes seules) afin d’éviter l’horreur du bagne de Guyane.
Landru, un être secret, étrange, intelligent, érudit, inventif, poli, d’éducation galante,….une liste de qualificatifs qui, a priori, auraient pu servir à la construction d’un destin "d’homme heureux".
Landru a cependant choisi le sombre couloir qui mène à une triste gloire.
Sans doute, dans l’étrange contexte de la période de guerre et d’après-guerre, s’était-il habitué, comme la plupart des soldats, à considérer la mort "de l’autre" comme une nécessité pour permettre sa propre survie?
Car il avouera à ses psychiatres, dans le cadre de l’enquête, qu’il dérobait ses victimes pour subvenir aux besoins économiques de sa famille.
C’est d’ailleurs tout ce qu’il avouera comme méfaits. Il se voyait comme un simple séducteur et escroc: rien de grave à ses yeux.
Pour ce qui est des crimes, dont il était aussi accusé, il clamera son innocence jusqu’au bout.
Son procès a suscité un vif intérêt dans toutes les couches de la population française y compris les politiques et les artistes.
Son avocat, un ténor du barreau français, le défendra de manière magistrale, mais les suspicions de preuves trop flagrantes convaincront finalement le Ministère Public et les jurés de sa culpabilité.
Il sera guillotiné le 30 novembre 1921.

Informations sur Landru, l'auteur, les comédiens.

 

 

 Distribution

 

 Technique

 

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  François de Pierpont: Gavroche
  Ekaterina Goloubkova: Arlette
  Nicole Vanhoutvinck: Mme Serin
  Umberto Tromboni: le Poilu
  Myriam de Pierpont: la Soeur
  Oxana Andreeva: Mme Delplanque
  Peppino Capotondi: Landru
  Maria Rosa De Paolis: Anna
  Alice Jaume: Marie-Catherine
  Maria Di Nunzio: Fernande
  Marc Decryse: Inspecteur Riboulet
  François Bridelance: le Maton
  Nicole Dassonneville: le Médecin
  François de Pierpont: le Juge
 
 
Danseuses cancan:
 
Maria Di Nunzio,
Ekaterina Goloubkova, 
Maria Rosa De Paolis, 

 

 

 
Adaptation, Mise en Scène,
Sons & Lumière :

Rita Sallustio
  Décors projetés et Régie : Christophe Bravin
  Costumes: Costhea, Sara
  Affiche: Théodore Kassapis
  Programme: Rita Sallustio, Patrick Aberg
  Secrétaire-Accueil: Jenny Rindin
  Assistante ATIE: Nicole Dassonneville
 
 
 


 
 
 

 

 

 

 

 

 

         

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Photos

 

 
Landru Agadir (...
Landru Agadir (65) Landru Agadir (65)

 

 

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une pièce de Michel GERVAIS      mise en scène par  Rita Sallustio

 

 Affiche de la pièce Landru 2014  

Création au BOZAR en Octobre 2013

Reprise à Agadir au Maroc en Mars 2014

Résumé de la pièce

Elle est présentée dans une ambiance d’euphorie d’après-guerre, au rythme du french cancan et de chansons tirées des chansonniers français des années 20.
C’est une histoire entièrement calquée sur la vie réelle de Henri-Désiré Landru, un criminel en série qui, un jour, sans trop savoir pourquoi, a basculé dans le piège de l’argent "facile" à gagner pour ensuite se retrouver dans l’obligation de tuer ses victimes (pour la plupart des femmes seules) afin d’éviter l’horreur du bagne de Guyane.
Landru, un être secret, étrange, intelligent, érudit, inventif, poli, d’éducation galante,….une liste de qualificatifs qui, a priori, auraient pu servir à la construction d’un destin "d’homme heureux".
Landru a cependant choisi le sombre couloir qui mène à une triste gloire.
Sans doute, dans l’étrange contexte de la période de guerre et d’après-guerre, s’était-il habitué, comme la plupart des soldats, à considérer la mort "de l’autre" comme une nécessité pour permettre sa propre survie?
Car il avouera à ses psychiatres, dans le cadre de l’enquête, qu’il dérobait ses victimes pour subvenir aux besoins économiques de sa famille.
C’est d’ailleurs tout ce qu’il avouera comme méfaits. Il se voyait comme un simple séducteur et escroc: rien de grave à ses yeux.
Pour ce qui est des crimes, dont il était aussi accusé, il clamera son innocence jusqu’au bout.
Son procès a suscité un vif intérêt dans toutes les couches de la population française y compris les politiques et les artistes.
Son avocat, un ténor du barreau français, le défendra de manière magistrale, mais les suspicions de preuves trop flagrantes convaincront finalement le Ministère Public et les jurés de sa culpabilité.
Il sera guillotiné le 30 novembre 1921.

 

 

 

 Distribution

 

 Technique

 

Video

 

   
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  Francesco Saporito: Gavroche
  Jacques Polfort: Maître Godefroy
  Ekaterina Goloubkova: Arlette
  Nicole Vanhoutvinck: Mme Serin
  Jean-Luc Appart: le Poilu
  Myriam de Pierpont: la Soeur
  Joanna Basztura: Mme Delplanque
  Peppino Capotondi: Landru
  Maria-Rosa De Paolis: Anna
  Fatiha Mehladi: Marie-Catherine
  Véronique Rihoux: Fernande
  Elisa Agnolini: Colette
  Damien Bachy: Inspecteur Riboulet
  François Bridelance: le Maton
  Nicole Dassonneville: le Médecin
  Pascaline Deuquet: la Psychiatre
  François de Pierpont: le Juge
  Luc Petit: Maître Moro-Giafferi
 
 
Danseuses cancan:
 
Maria Di Nunzio,
Ekaterina Goloubkova, 
Anna Vardanyan, 
Maria Rosa De Paolis, 
Dorota Myszkorowska

 

 

 
Adaptation, Mise en Scène,
Sons & Lumière :

Rita Sallustio
  Décors projetés et Régie : Christophe Bravin
  Costumes: Costhea, Sara
  Affiche: Théodore Kassapis
  Programme: R.Sallustio, P.Aberg
  Secrétaire-Accueil: Jenny Rindin
  Assistante ATIE: Nicole Dassonneville
 
 
 


 
 
 

 

 

 

 

 

 

         

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Landru bozar
Landru bozar Landru bozar

 

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Naissance et parcours de l'Atelier Théâtral des Institutions Européennes

Naissance officielle de l’ATIE

Quelques Collègues, fonctionnaires des institutions européennes se sont, un jour, réunis autour d’un projet commun. Un projet très ambitieux qui visait à faire connaître la culture européenne par le biais de la création et l’expression théâtrale.
C’est ainsi que grâce au pouvoir de persuasion et à la compétence d’Irène Chalkia, grâce à l’enthousiasme et l’esprit d’organisation de Rita Sallustio, d’Alain Sellers et de Christian André, la troupe est née un après-midi d’automne au sein des cercles des loisirs de la Commission européenne en Septembre 1984.
Quelques années plus tard après avoir mis en scène un premier spectacle en français, l’ATIE produit un 2ème spectacle en grec et accueille la communauté grecque. S’ajoutent Yannis Gavras et Theodoros Kassapis.
En 1987, un premier spectacle en langue italienne salue les débuts d'acteur d’Antonio Fabbri et de Serenella Morelli. En 1988 l’ATIE se restructure une première fois pour accueillir plus de membres.
Jusqu’en 2004, tous ses membres que l’on peut qualifier de «membres fondateurs» on permis à la troupe de se faire connaître dans les différents théâtres à Bruxelles, d’Anvers et de Charleroi;  mais aussi sur des scènes à l’étranger dans le cadre de festivals de théâtre pour amateurs: en Italie (Chieti et Toscane), en Grèce (Epidaure), en France (Bordeaux) et tout récemment au Maroc dans le cadre du festival universitaire d’Agadir.
En 2004, cependant une nouvelle restructuration s’impose à l’ATIE pour mieux répondre aux règles interinstitutionnelles - quelquefois discordantes - et une section  indépendante se créé au sein du Conseil de l’Union Européenne.

Effets "levier" de l’ATIE

On doit également souligner les nombreux effets "levier" de l’ATIE.
En effet, l’ATIE a fait naître de nombreux talents d’acteurs, a donné son appui à d’autres groupements linguistiques aussi bien au sein de la Commission qu’au sein des autres institutions européennes afin de les aider à conceptualiser leur mise en marche et à assumer leurs propres créations.
ATIE.Com: 30 ans plus tard:
On peut dire qu’après 30 ans de parcours et quelque 120 productions l’ATIE.Com a relevé son défi.
L’ATIE.Com a été une véritable pépinière de créativité. Des hommes et des femmes de tous les horizons ont pu développer, dans un esprit de camaraderie, leurs talents de comédiens, comédiennes, de metteurs et metteuses en scène, de graphistes, de décorateurs, d‘éclairagistes, de maquilleuses etc.
Tout ces hommes et ces femmes ont donné – le temps d’un spectacle - du plaisir à des centaines de spectateurs qui sont venus aimablement les applaudir et les soutenir dans leurs aventures artistiques quelques fois très téméraires.
En janvier 2014, la structure de l’ATIE Com s’est restructurée une fois encore pour répondre aux exigences de l’Administration qui l’héberge.
Cependant ce qui ne se modifiera sans doute jamais  (du moins on l’espère) c’est l’esprit de la troupe, son amour pour théâtre, la passion de créer, d’inventer, l’envie de voir se réaliser des rêves situés en dehors des limites du temps.

 

 

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