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una commedia di Ben Jonson adattata e messa in scena da Antonio Fabbri
Rappresentazione al
Residence Palace
in Novembre 2005
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TramaVenezia, secolo XIV.Volpone a letto si finge sull'orlo della tomba per gabbare i suoi “amici” che aspettano di essere suoi eredi universali. Questi cercano, l'uno all'insaputa dell'altro, di essere i prediletti del moribondo, dimostrandogli affetto incondizionato, non badando a spese per guadagnarsi la sua generosità. Fanno regali su regali, gareggiando a chi li fa più preziosi. Sono pronti a perdere tutto quello che hanno, nel miraggio di un'eredità, ma ... Quando il filo è troppo teso, si può spezzare: cosa succederà a Volpone, al suo furbo servitore Mosca e agli avidi pretendenti all'eredità?
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una commedia creata e messa in scena da Antonio Fabbri
Rappresentazione al
Residence Palace
in Giugno 2006
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TramaUna troupe di attori, poveri in canna, è in teatro per provare una commedia. La prova è veramente penosa e il capocomico è scoraggiato. Ma per il capocomico il bello è recitare nel sogno e questa volta interpreta Galileo Galilei. Al suo risveglio arriva l’agente teatrale che lo rimprovera per il mezzo fiasco dello spettacolo “I Rusteghi” e vuole assistere alle prove della commedia in preparazione “La grande magia” e ne rimane soddisfatto e impressionato. Il capocomico, stanco ma felice, si abbandona ancora ai suoi sogni e questa volta è Don Chisciotte a farlo sognare. La leggerezza dei sogni lo aiuta a sopportare il peso della realtà. Come si può dedurre, la commedia è un intreccio di altre commedie e un alternarsi di momenti comici, tragici e romantici.
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una commedia di Eduardo De Filippo adattata e messa in scena da Antonio Fabbri
Rappresentazione al
Residence Palace
in Dicembre 2006
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TramaChiarina, votata ormai allo zitellaggio, cerca di piegare ai suoi voleri il fratello Lorenzo, restauratore di quadri antichi, con ricatti morali che provocano momenti tragicomici. Colpo di scena: Chiarina si sposa con un verduraio avido e calcolatore e avanza pretese enormi sui beni del fratello. Lorenzo, apparentemente cede ma, con un tiro mancino riesce a vincere su tutti i fronti. La trama è ben più complicata e infarcita di comicità, ma il succo è questo: una persona di famiglia può danneggiare un congiunto in nome dell'altruismo e dello spirito di sacrificio. Eduardo De Filippo stesso dice: "Bene mio e core mio è l'espressione abituale con la quale la gente del mio paese indica ironicamente la fregatura che viene data ad un familiare con la scusa di sacrifici sopportati e pretendendo di avere l'intima convinzione di fare il suo bene”.
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une pièce de Luigi PIRANDELLO mise en scène par Rita Sallustio
en Octobre 2013
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Résumé de la pièceLe vieux professeur Augusto Toti, bientôt pensionné, décide de se marier.C'est en discutant avec le directeur de l'école, qu'on apprend cette dernière nouvelle, plus que bizarre!! Le vieux professeur s'explique : il ne s'est jamais marié parce qu'il a consacré sa vie entière à l'enseignement et aux enfants. Cette mission, il veut l'accomplir jusqu'à son dernier souffle. Bien qu'il soit servi par Rosa, sa servante fidèle et dévouée, il se rend compte que, dans quelques années, il sera vieux et seul et n' aura personne pour l'assister affectivement dans ses vieux jours. En plus, il se rend compte que le gouvernement l'a volé toute sa vie en lui payant un salaire de misère, avec lequel il n'aurait jamais pu entretenir une famille de manière décente. C'est pourquoi il a réfléchi, calculé et planifié son avenir pour les années qui lui restent à vivre. En conclusion de cette réflexion, il annonce en grande pompe au directeur de son école qu'il veut se marier…seulement "en apparence".. et pas avec n'importe quelle fille. Il faut que celle qui sera officiellement son épouse soit de bonne famille, très jeune, et de condition sociale très pauvre. Pourquoi ce choix particulier ? Pour obliger le gouvernement à lui verser une pension: non seulement à lui, mais aussi et surtout, après sa mort, à cette fille pauvre, qui sera devenue sa femme. Le professeur aura ainsi la satisfaction d'aider une pauvre enfant à monter dans l'échelle sociale grâce à son nom, et assurer son avenir aux frais d'un gouvernement qui l'a toujours volé durant sa carrière et dont finalement, il se vengera ! En contrepartie, pour lui-même, il ne sera plus seul dans ses vieux jours et pourra compter sur l'appui de celle qui prendra "en apparence" un rôle d'épouse. Pour réaliser ce projet de vie ultime, il a des vues sur la fille de la gardienne de l'Ecole (Madame Cinquemani); elle s'appelle Lillina. Lillina est une jeune fille simple, joyeuse, naturelle, sans instruction et sans histoire, encadrée par une mère et une tante de condition modeste, bien insérées dans la mentalité sociale de village et assez matérialistes. Un soir, il appelle Madame Cinquemani, pour lui faire la proposition de ce mariage de convenance. Madame Cinquemani n'est pas contre cette idée de mariage "arrangé" qui finalement conviendra à tout le monde, d'un point de vue pragmatique. Mais un quiproquo et une flopée de surprises vont s'installer dans le déroulement des évènements: Lillina est - en fait- amoureuse de Giacomino, un ancien élève du professeur Toti; de plus elle est enceinte de lui; …et bien entendu, personne n'est au courant de la naissance prochaine. Dans un premier temps, Lillina semble contente de "ce mariage de forme" dont elle ne saisit pas toutes les astuces, mais elle compte bien inclure Giacomino dans ce projet de vie, ainsi que le petit "Giacominetto en cours de fabrication". Pour le professeur Toti, c'est la double grosse surprise qui le terrasse totalement, car Giacomino n'était pas inclus dans sa programmation. Mais l'émotion passée, il se rend à l'évidence et vu sa philosophie sur le futur de sa vie, il ne peut qu'accepter l'ensemble des évènements. Il aime bien Giacomino, jeune orphelin et brillant élève; ce jeune homme mérite aussi, à son sens, un avenir meilleur. C'est ainsi que le professeur Toti, dans son élan de générosité, accepte, à la supplication de Lillina, d'inclure Giacomino dans son projet de vie de couple à trois. Qu'en est-il de l'image du mari trompé, cocufié ? Cette image lui est indifférente, car elle ne sera - en fait - qu'une apparence. De plus, il entrevoit la naissance de l'enfant comme un évènement béni du ciel pour ses vieux jours et accepte - en bloc - de jouer tous les rôles : celui du mari, du père et du grand-père. Il lui restera cependant la dure tâche de convaincre tous les autres de ce nouveau mode de vie qui défie toutes les conventions sociales de l'époque. En fait, vouloir imposer (dans les années 50) une vision "de famille restructurée" est révolutionnaire, hors de l'entendement général et annonciatrice de scandale; aussi, les sœurs Cinquemani s'y opposent-elles avec violence; même désapprobation au niveau municipal, dont le Directeur (personnage rigoureux) se fait le porte-parole; tout l'entourage social, y compris l'Eglise représentée par le Cardinal Landolina (personnage mielleux et hypocrite), la sœur de Giacomino (Rosaria, catholique pratiquante) et sa servante Filomena s'opposent violemment à ce mode de vie anti-conventionnel. Pour Giacomino aussi, ce sera très difficile de faire la part des choses, même si dans un premier élan, il accepte d'entrer dans ce jeu basé sur "les apparences". Le mariage est organisé comme le veut la tradition et Giacomino devient pour quelques temps un ami de la famille Toti. En même temps, il se passe un évènement imprévu : le Professeur hérite d'une très grosse fortune qui lui vient d'un frère dont il avait oublié l'existence…. Après le mariage, au fil des jours, Giacomino se laisse intimider par les critiques qui fusent autour de lui et il va cesser (sous la pression de sa sœur, Rosaria) toute relation avec Lillina, son fils et le professeur Toti. Bien qu'il soit amoureux de Lillina, il est rempli de peur et de préjugés, car il a été élevé par sa sœur Rosaria dans le respect de la religion catholique et de ses interdits; Giacomino va se perdre totalement au point de ne plus pouvoir décider lui-même de ce qu'il veut, dans la vie... Pour la suite, ... S'agissant d'une comédie, on peut annoncer le "happy end" … S'agissant de Pirandello… n'oublions pas que tout est bien qui finit bien …EN APPARENCE!
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Un mythe mis en scène par Irène Chalkia
Création au Théâtre Municipal d'Esch-sur-AIzette Février 1990
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Résumé du spectacleNotre démarche permet à chaque acteur de jouer plusieurs personnages et pas les même dans chacune des séquences des acteurs choisis. Ainsi le Don Juan d’Obey est aussi le Sganarelle de Brecht et le Don Rodrigue de Max Frisch est le Léporello de Da Ponte Mozart. Cette démarche permet à seize acteurs (neuf femmes et sept hommes) de jouer une centaine de personnages (avec des costumes et des rôles différents). La musique originale d'Armando CARRERE souligne l’unité interne de cette mosaïque, et en contrepoint à la musique de Mozart, fart ressortir la force et la pérennité du mythe. En somme, nous proposons de découvrir, à travers cinq acteurs différents, sept ou huit variantes du personnage de Don Juan (selon les acteurs utilisés) : le fougueux et insouciant cavalier de Séville de Tirso de Molina croise, dans le chemin du temps et de la connaissance, le philosophe-amoureux de la géométrie de Max Frisch pour engager le dialogue sur l’essence et l’existence avec le personnage énigmatique et narcissique du Don Juan d’Obey ou cède simplement le passage au désinvolte Don Juan de Brecht. Ainsi, riches d’expériences et de sentiments, ces personnages se livrent, dans un deuxième temps, à travers la danse et les joies du carnaval, dans un jeu funeste de séduction et de réflexion. Alors que la première partie, inspirée de l’œuvre de Tirso de Molina, Max Frisch, Brecht, Molière, Obey, Lenau, Mozart et Pouchkine est axée sur le monde de la séduction et de la vie, la deuxième partie du spectacle aborde l’importance du mythe dans le monde de l’illusion, plus particulièrement à travers le théâtre et une réflexion sur le sens de la vie et de la mort. Le Don Juan de Ghelderode, de Lenau, d’Obey et de Montherlant nous révèlent tantôt avec cynisme, tantôt avec une lucidité exubérante que seul l’Amour peut répondre à la Mort.
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une pièce de Federico Garcia Lorca mise en scène par Irène Chalkia
Représentations
au Centre Culturel Jacques Frank Janvier 1989
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Résumé de la pièceLa mort nous guette partout : dans la nuit au clair de lune, lorsque l'amour se dérobe furtivement sous les bras des amoureux, dans le regard d’un ami qui s'éteint un jour, dans le silence de la conscience profonde d’un être proche qui s’éloigne... Mais la vie bat son plein dans la lumière du jour à la rivière. L’eau est fécondité, symbole maternel, sécurité (l'eau matricielle), accès à l’universel ; mais aussi joie, fraîcheur, cours naturel et vivant des choses. La vie en société est créatrice et destructrice en même temps. La solitude régénère les désirs et les aspirations inavouées, mais le regard collectif des autres est catalyseur des obsessions et des rêves obscurs. Pourrait-on ainsi résumer cette pièce de Garcia Lorca dans laquelle le poète ose, en toute liberté, se pencher et regarder dans l'abîme qui sépare les deux mondes de l'existence humaine, à savoir le masculin et le féminin? Chaud et froid, sec et humide, rouge, noir et blanc, lumière joyeuse et nuit profonde, telles semblent être les températures et les couleurs de cette dramaturgie qui s'inscrit - à juste titre - dans la tradition de la tragédie grecque. Yerma n’est pas un drame familial, loin de là : c’est une tragédie, parce que la société - par la présence des chœurs que nous avons accentuée - est aussi importante que le noyau familial qui supporte le poids de la tension dramatique. La société, en tant que voix et regard collectifs (les chœurs) ou par ses modèles de vie individuels (Maria, Victor, la Vieille, Dolorès et la "Folle") déclenche et nourrit le conflit dans le couple. Que dire de plus ? Combien ce problème et cette image de la société espagnole des années 1930 touche notre cœur, par sa poésie et sa vérité, et nous concerne, même en 1989, nous animateurs et vous spectateurs du grand théâtre européen.
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une pièce de Anton Tchechov mise en scène par Yannis Gavras
Représentations
au Centre Culturel Jacques Frank Novembre 1989
le metteur en scène |
Résumé de la pièceAlexandre Serebriakov, vieux professeur en retraite et célèbre pour ses activités intellectuelles antérieures, vit dans une petite ville de province, retiré et malheureux de son sort. Un sort qu'il fait peser sur sa jeune femme (Elena Andreevna) qu'il a épousée en secondes noces et sur sa fille Sonia (née de son premier mariage). Il est également entouré de Georges Voinitzki, son beau-frère (frère de sa première femme) et de la mère de ce dernier, Maria Vassilievna. C'est Georges qui s'est occupé pendant plus de 25 ans, de la gestion de la propriété où ils habitent tous maintenant, dans l'ennui et l'oisiveté les plus mortels du monde. Georges s'est aigri en vieillissant et est Insatisfait de sa vie, qu'il considère ratée et finie. Il est éperdument amoureux d'Elena qui ne veut rien entendre de cet amour qu'elle considère Immoral et absurde. D'autres amis entourent cette famille qui se défait petit & petit au fil du temps. Ivan Ivanovitch fréquente assidûment le professeur, son ani de longue date. Son fils Fédor hante également les murs des Serebriakov, afin de mieux tourmenter Elena Andreevna d'un amour immature qu'elle rejette d'abord avec pudeur, puis avec hargne. Leonide Stepanovitch (Lenia), noble, riche propriétaire terrien. Il traite ses amis avec un certains mépris ; il est hautain et imbu de lui-même. Amoureux de Sonia, il essaie de se rendre agréable aux yeux des Serebriakov dans l'espoir de conquérir l'amour de Sonia. Youlia, désireuse de voir se conclure ce mariage rapidement, fait part à Sonia de l'amour que son frère lui porte. Sonia, cependant, aspire à un autre amour, celui de Hikhall Lvovitch, dit Le Sauvage. Avec un parler franc et sincère, Le Sauvage met à nu sans détour sa sensibilité, sa pureté, qui devraient être idéalement la sensibilité et la pureté de tout être simplement humain. C'est pour cette raison qu'il refusera avec mépris l'amitié d'Elena Andreevna qu'il croit impliquée sournoisement dans une intrigue amoureuse avec Georges. Ce mépris est fondé sur de vulgaires ragots de village ; il ne disparaîtra qu'après le suicide de Georges et la fuite d'Elena. Georges, excédé après une Xième discussion (cette fois violente) de famille, se suicide d'une balle dans la tête après avoir demandé désespérément l'aide de sa mère (Maria Vassilievna) qui ne le comprend pas, qui ne l'a sans doute jamais compris et qui peut-être n'a jamais rien compris hormis
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une pièce de Yasmina REZA mise en scène par Yannis Gavras
Représentations le metteur en scène |
Résumé de la pièceLe titre résume à lui seul l’essentiel de l’action : trois enfants, Alex, Edith, Nathan, se retrouvent dans la maison familiale pour l’enterrement de leur père. Cette mort va plonger les personnages dans leurs souvenirs, ravivant aussi pour certains des blessures secrètes. Le sujet particulièrement grave et difficile, est l’un de ceux dont on n’a pas peur de s’attaquer à l’adolescence. L’histoire se joue autour de la confrontation entre deux frères, Alex et Nathan. Le premier, le plus jeune, d'un tempérament hargneux, est marqué par l’échec de sa vie (c'est un écrivain raté devenu critique) et se montre agressif envers son frère Nathan. Toute la pièce semble centrée sur le regard qu’Alex a de lui-même ou des autres : par ses discours, il pose Nathan comme un être exceptionnel, doué, ayant réussi sa vie. Le fait qu’Elisa, sa première compagne, l’ait quitté pour son frère accentue cette opposition...
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une pièce d' ESCHYLE mise en scène par Yannis Gavras
une Co-Production Groupe théâtral Y-Grec et ATIE
Représentations
à l'Espace Scarabeus
en janvier 1995
le metteur en scène
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Résumé de la pièce*ContexteCette tragédie fut écrite après les victoires grecques de Salamine et de Platée (Eschyle ayant participé à la première). Si ces échecs militaires n'atteignaient pas réellement l'Empire perse, l'année 480 av. J.-C. fut vécue par les Grecs comme la victoire d'un peuple moins nombreux, mais libre, contre un grand empire ; de l'« Occident » hellénique contre le « barbare » oriental. Sans doute, d'un point de vue strictement historique, ce tableau symbolique paraît-il fort sommaire : certains peuples grecs avaient pactisé avec l'Empire perse, lequel était loin d'être un ramassis de hordes sauvages ; les échanges entre les deux civilisations, les rapports de peuples et d'individus entre les deux rives de la mer Égée étaient constants. Mais l'orgueil des Grecs, surtout celui des Athéniens, exalté par le rôle qu'avait joué leur cité, trouvait là matière à un enthousiasme que la poésie allait pouvoir magnifier. TexteCe drame raconte le retour de Xerxès à Suse après les défaites de Salamine et de Platées. Le drame, dans les Perses, ne repose pas sur l'agencement des péripéties et des événements ; ceux-ci sont déjà passés, et on les raconte, ou à venir, et on les prédit ; au reste, le spectateur les connaît et toute l'émotion réside en l'attente angoissée de la catastrophe. Nulle œuvre, à part peut-être les Sept contre Thèbes, ne reflète mieux l'union des deux éléments constitutifs de la tragédie grecque : la déploration lyrique et la narration épique ; le récit du messager d'une part, la prophétie de Darius de l'autre sont les points culminants qui émergent du crescendo choral. Le songe d'Atossa (la reine et la mère de Xerxès) et son dialogue avec le chœur préparent l'arrivée du messager. Ainsi l'émotion dramatique est obtenue non par un agencement des péripéties, mais par la création d'un climat continu d'attente et d'angoisse, se résolvant en une déploration du malheur consommé. * Info Wikipédia |
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une pièce de Jean GENET mise en scène par Yannis Gavras
Représentations
au Théâtre de Banlieu
en Février 1991
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Résumé de la pièceDeux servantes s’ingénient à jouer jour après jour, avec une rigueur absolue le rôle de « Madame », Leur maitresse de maison … Le temps qui leur est imparti est limité … elles n’arrivent jamais à terminer leur étrange cérémonie à temps … Peinture d’un cadre social dans lequel évoluent des personnages liés par la force du destin, la fatalité de leur position sociale. Jeux d’équilibre sur trois axes fragiles : l’amour, la haine, la révolte pour aboutir à la déchirure, à l’angoisse et à la mort peut-être …
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