Super User
une pièce de Eugène Ionesco mise en scène par Irène Chalkia
Représentations
au Théâtre de Banlieu
Janvier 1988
|
Résumé de la pièceEn janvier 1988, la réalisation du Roi se meurt d’Eugène Ionesco a ouvert de nouvelles perspectives au niveau international pour les activités de l’ATIE : avec ce spectacle l’ATIE a participé au Festival International de théâtre à Chieti (Italie) et par la suite (en octobre 1988), il a été représenté au Grand Duché de Luxembourg, au Théâtre Municipal d’Esch sur Alzette.L’histoire : Le vieux roi Bérenger ne peut se résoudre à mourir, malgré son âge avancé et malgré les conseils de son médecin et l’aide de ses deux reines ; la reine Marguerite et le médecin essaient de le raisonner et le convaincre de lâcher prise et d’abdiquer, tandis que la reine Marie avec sa compassion et son affection le retient à la vie. Tiraillé par ces désirs contradictoires, le Roi résiste, malgré sa faiblesse physique et ne veut pas mourir. Juliette, sa servante, et le Garde l’accompagnent avec émotion dans toutes les étapes de ce rituel initiatique qui le mène vers la mort. La Reine Marguerite finira par maitriser la situation en sagesse et le guidera doucement mais fermement à la mort et l’apaisement final. « Maintenant, tu peux prendre place » est sa dernière phrase qui libère totalement les attaches du Roi à la vie. Le Roi se meurt, pièce autobiographique d’Eugène Ionesco, qui a un moment de sa vie a frôlé lui-même la mort, publiée en 1963 chez Gallimard, témoigne d’une profondeur spirituelle et humaine inégalable : chaque homme est roi au moment de sa mort , comme il l’est au moment de sa naissance où tout n’est que promesse de joie et de bonheur. « Qu’il est difficile de mourir » nous dit Ionesco par la bouche du Roi Bérenger, nom de personnage auquel l’auteur s’identifie dorénavant dans ses pièces.
|
|
Distribution
|
Technique
|
Video
|
|||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||
|
|
|
Photos
|
|
une pièce de Tennessee Williams mise en scène par Yannis Gavras
Représentations
|
Résumé de la pièce0n peut certes aimer ou ne pas aimer l’univers de Tennessee Williams avec ses relents d’aisselles et de parfums rancis, sa respectabilité jetée comme un voile mité sur les plus fétides turpitudes, son obsession furieuse du sexe. Soudain l’été dernier nous fait retrouver les mêmes paysages, le même climat. Le domaine de la hautaine Madame Venable est une sorte de "Maison Usher", de belle apparence encore, mais secrètement rongée et prête à s’écrouler. Le fils très chéri de cette respectable dame est mort au cours d'un voyage. La mère le présente comme un être d’élite, un délicat poète. En fait, c’était un homme perverti jusqu'à la moelle, et sa mort fut abominable. Une jeune femme, Catherine, a été le témoin de cette mort. D’où un choc psychique qui a nécessité un séjour dans une maison de repos. Madame Venabte tient à ce qu’elle y reste toute sa vie. Et qu'avec elle soit enterrée la vérité sur la mort de son fils.
|
|
Distribution
|
Technique
|
Video
|
||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||
|
|
|
Photos
|
|
une pièce de Molière mise en scène par Yannis Gavras
|
Distribution
|
Technique
|
Video
|
||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||
|
|
|
Photos
|
|
un spettacolo Collettivo dell'ATIE in tre parti :
Rappresentazione al
Centre Joli Bois
nel Novembre 1987
|
La PATENTE di Luigi PIRANDELLO. Messa in scena da Irène Chalkia
Trama« ...Rosario Chiarchiaro s'è combinata una faccia da jettatore che è una meraviglia a vedere. S'è lasciato crescere su le cave gote gialle una barbaccia ispida e cespugliuta; s'è insellato sul naso un pajo di grossi occhiali cerchiati d'osso che gli danno l'aspetto di un barbagianni; ha poi indossato un abito lustro, sorcigno, che gli sgonfia da tutte le parti, e tiene una canna d'India in mano col manico di corno. » LE FINESTRE di Dino BUZZATI. Messa in scena da Serenella Morelli
TramaLe Finestre : esempio della problematica esistenziale di Buzzati
Atto unico scritto su invito del Festival di Spoleto e allestito in questa città nel giugno 1959. Racconta la vita di un ragazzo "bruciato" osservata alla finestra dai genitori, dai vicini, dalla ragazza amata : un esistenza per rapidi flashes, alla lente d'ingrandimento degli altri. E poco più di "un foglio d'album".
Nelle spazio di una vicenda scarna, lineare che si consuma in un tempo "scenico", si staglia come un'ombra questo dramma.
Buzzati è semplice, preciso e diretto. E d'una ammirevole grazia e malinconia, la malinconia che gli viene dalla consapevolezza che quella vita finirà male. Il testo è di una misura perfetta secondo i critici, di una discrezione rara.
L'arte buzzatiana è caratterizzata da una vena di domestico e pungente surrealismo ; è cosi sottile da far scoprire, nella linearità d'una vicenda spoglia, il mistero di cui è carica, e derivare, dall'apparente impassibilità del racconto, l'eterno pianto sulla sordità dell'uomo agli appelli di quel mistero e sulla fralezza del suo proprio destino. Arte definita anche a volte kafkiana, ma che invece appartiene in modo tanto singolare a Buzzati. La cosa che colpisce subito nel racconto di Buzzati è la sua tecnica : l'abilità del "taglio" e la perfezione della "misura" : lo scrittore ê sapientissimo nello scegliere gli elementi indispensabili e nel definirli giustamente, come nel fermarsi quando anche una sola parola, o sfumatura, sarebbe superflua. L'Uomo nudo e l'Uomo in frack di Dario FO. Messa in scena collettiva coordinata da Serenella Morelli
TramaL'uomo nudo e l'uomo in frack: una farsa
"... un ambasciatore viene trovato da un netturbino, nudo (e vivo) in unbidone della spazzatura: era fuggito dal letto di una donna all'improvviso rientro del legittimo marito. Allo spazzino spetterà il compito di dareil via a un complicato snodarsi di situazioni, nella ricerca di un frack con cui vestire l'uomo nudo..." Questa farsa e tratta da un gruppo di quattro farse intitolate "Ladri, manichini e donne nude".Fu rappresentata per la prima volta a Milano al Piccolo Teatro il 6 giugno 1958 assieme alle altre tre: "Non tutti i ladri vengono per nuocere", "Gli imbianchini non hanno ricordi" -firmate da Dario Fo, l'ultima invece "Non andartene in giro tutta nuda" e firmata Georges Feydeau. |
une pièce de SOPHOCLE mise en scène par Irène Chalkia
Représentations
au Centre Joli Bois
Mars 1984
|
Résumé de la pièceLe personnage légendaire le plus célèbre parmi ceux qui portent le nom d’Electre est la fille d’Agamemnon et de Clytemnestre. Elle n’est pas connue de l’épopée homérique, mais, chez les poètes postérieurs, se substitue peu à peu à Laodicé, l’une des filles d’Agamemnon, dont le nom n’est plus mentionné à partir de ce moment-là. Après le meurtre d’Agamemnon par Egisthe et Clytennestre, Electre, qui n’échappe que de peu à la mort, est traitée comme une esclave. Elle est sauvée par sa mère, qui intercède pour elle auprès d’Egisthe. Selon certaines versions, c’est elle qui soustrait le petit Oreste aux mains des meurtriers et le confie en secret au vieux précepteur qui l’emmène loin de Mycènes. Egisthe, pour éviter qu'Electre ne mette au monde un fils qui pourrait venger le meurtre d’Agamemnon, a marié la jeune fille à un paysan installé loin de la ville. Mais son mari a respecté sa virginité. Selon d’autres auteurs, au contraire, Electre, qui avait été autrefois fiancée à Castor, puis promise à Polymestor, est tenue enfermée dans le palais de Mycènes. Lors du retour d’Oreste, elle reconnaît son frère, qui est venu, comme elle, auprès du tombeau de leur père, et, avec lui, prépare la vengeance, c’est-à-dire l’assassinat de Clytemnestre et d’Egisthe. Elle prend une part active à ce double meurtre, et, lorsque, par la suite, Oreste est poursuivi par les Erinyes, elle s’occupe de lui. Elle joue un rôle dans différents épisodes de la légende d'Oreste, telle qu’elle a été développée par les tragiques. Dans l’Oreste d’Euripide, elle participe aux épreuves de son frère et lutte à ses côtés contre l’hostilité du peuple, qui veut condamner les meurtriers à mort.
|
|
Distribution
|
Technique
|
Video
|
||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||
|
|
Photos
|
|
un concert scènique mis en scène par Irène Chalkia
Représentations
au Théâtre de Banlieu
Janvier 1988
|
Résumé de la pièce« Le foule aujourd’hui comme autrefois est avide de mystère : elle ne demande qu'à prendre conscience des lois suivant lesquelles le destin se manifeste et qu'à deviner peut-être le secret de ses apparitions. » [Antonin Artaud - Le théâtre et son double] Chers spectateurs, Au lieu de vous présenter ce soir un travail terminé, clôturé dans le temps et l'espace d'une représentation, nous vous proposons une ébauche d’un cheminement "infini" à travers les images des mots et des sons, à travers la sensibilité créatrice d'un compositeur qui, puisant dans les grands mythes de l'humanité, fait jaillir des profondeurs de notre inconscient culturel un langage nouveau, musical et imagé. Les extraits de textes de Yannis RITSOS et de Nikos KAZANTZAKI sur lesquels nous avons eu l'occasion de travailler, en laboratoire, des improvisations au niveau du jeu d'acteur en rapport avec l'espace, nous ont semblés les plus appropriés pour établir une trame du verbe théâtral dans ce nouveau contexte musical imagé. Attirés par l’idée de revivre des instants des grands mythes de l'antiquité grecque dans un espace moderne, éclaté, nous avons opté pour cet espace, le grand cratère de la mémoire où temps et espace s’entremêlent, où le VERBE poétique s'amplifie avec le GESTE théâtral et la MUSIQUE dépasse les frontières du temps. Ce spectacle expérimental – joue 1 seule fois – a été un dérivé de la scénographie du Roi se meurt, dans les lieux scéniques de l’ancien Théâtre de Banlieue. L’expérience consistait a jouer des fragments des textes poétiques dans le cratère du volcan éteint qui était la scénographie principale du Roi se meurt, avec des musiques « live » improvisées tout au long du spectacle par le compositeur Armando Carrère. C’est ainsi que la musique par un procédé alchimique s’incorporait au fur et à mesure dans le verbe théâtral et la pulsion du rythme musicale dictait les mouvements chorégraphiques des acteurs dont le jeu était constamment modifie en résonance avec la musique improvisée. On peut parler d’une performance avant la mode actuelle, puisque le décor du Roi se meurt servait d’installation inspirante pour la musique et la chorégraphie ; seuls facteurs déterminés à l’avance : le texte et l’espace du jeu dans le perpétuum temporel et alchimique suggéré par la musique.
|
|
Distribution
|
Technique
|
Video
|
||||||||||||||||||||||||||||||
|
|
|
Photos
|
|
una commedia di Carlo Goldoni adattata e messa in scena da Yannis Gavras nel 1989
da Antonio Fabbri nel 2004
Rappresentazione al
Palais des Beaux Arts
in Giugno 1989
All'Istituto Italiano di Cultura
nel Maggio 2004
|
TramaLa storia, per chi non la conoscesse, è ambientata a Venezia nel '700 e ci mostra quattro mercanti veneziani intransigenti e rigidi con le proprie mogli e i propri figli.
|
|
Attori
|
Tecnica
|
Video
|
|||||||||
|
|
Photos
|
|
una commedia di Neil Simon adattata e messa in scena da Yannis Gavras
Rappresentazione al
Espace Delvaux
in Dicembre 1990
|
TramaLa commedia è ambientata a New York negli anni sessanta: due divorziati, Felix e Oscar, diversi in tutto e per tutto, dividono un appartamento e si scontrano con i problemi di convivenza quotidiana.
|
|
Attori
|
Tecnica
|
Video
|
|||||||||||||||||
|
|
|
Photos
|
|
una commedia di Eduardo De Filippo adattata e messa in scena da Yannis Gavras
Rappresentazione al
Espace Senghor
in Maggio 1992
|
TramaSembra un fine settimana come gli altri in casa Priore: il sabato passa con Rosa affaccendata nella preparazione del suo famoso ragù, ma nelle sue movenze s'indovina un certo nervosismo accentuato da quello del marito Peppino che la rimprovera per ogni minima cosa e che se la prende con chiunque gli capiti a tiro: con il figlio che si confida con il nonno invece che seguire i suoi consigli, con la figlia Giulianella che litiga con il fidanzato, con la zia Memè che tormenta il figlio con inutili cure mediche... Insomma il clima familiare si sta surriscaldando al punto che è inevitabile l'esplosione che avverrà il giorno dopo soprattutto nei confronti di un estraneo alla famiglia, il vicino di casa il ragioniere Luigi Ianniello, che con la moglie è stato invitato per il pranzo domenicale. Il ragioniere, senza secondi fini ma proprio per il suo naturale carattere espansivo e amichevole, frequenta casa Priore con una certa invadenza ma mostrandosi sempre amico di Peppino e particolarmente affabile verso la padrona di casa. Ed è proprio il ragioniere la causa dell'improvvisa e imprevista scena che mette in opera Peppino sconvolgendo e mandando all'aria il pranzo della domenica. La moglie sconvolta dalla scenata di gelosia, che è rivolta soprattutto a lei e che è il risultato delle incomprensioni che si sono accumulate e che hanno minato il rapporto della coppia, viene colta da un leggero malore. Assistita dalle cure premurose dei familiari passa la giornata domenicale mentre Peppino sconsolato e amareggiato, pentito di quanto ha fatto e detto, addolorato per aver causato il malessere della moglie, si sente incompreso da tutti. Arriva finalmente il lunedì: la famiglia Priore con animo più tranquillo riflette su quanto è accaduto il giorno prima e capisce che in fondo il motivo che ha fatto nascere il litigio della coppia è l'amore che ancora li unisce. Marito e moglie alla fine si dicono quello che finora hanno tenuto nascosto nei loro animi e dal chiarimento rinasce il ricordo del loro amore che ancora li terrà uniti.
|
|
Attori
|
Tecnica
|
Video
|
|||||||||||||||||
|
|
|
Photos
|
|
una commedia di Carlo Gozzi adattata e messa in scena da Rita Sallustio
Rappresentazione all'
Istituto Italiano di Cultura
in Dicembre 1993
|
TramaBasata sulla fiaba di Giambattista Basile, contenuta ne Lo cunto de li cunti. |
|
Attori
|
Tecnica
|
Video
|
|||||||||||||||||
|
|
|
Photos
|
|