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une pièce de   Eugène Ionesco     mise en scène par  Irène Chalkia

 

 Le roi se meurt 1-2
 

Représentations
au Théâtre de Banlieu
Janvier 1988

 

Résumé de la pièce

En  janvier 1988, la réalisation  du Roi se meurt  d’Eugène Ionesco a ouvert  de nouvelles perspectives au niveau  international  pour les activités de l’ATIE :  avec ce spectacle l’ATIE a participé au Festival  International  de théâtre à  Chieti  (Italie)  et  par la suite  (en octobre 1988),  il a été représenté  au Grand Duché de Luxembourg,  au Théâtre Municipal d’Esch sur Alzette.   
L’histoire : Le vieux roi Bérenger  ne peut se résoudre à mourir, malgré son âge avancé et malgré les conseils de son médecin et l’aide de ses deux reines ; la reine Marguerite et le médecin essaient de le raisonner  et le convaincre  de lâcher prise  et d’abdiquer, tandis que la reine Marie avec sa compassion et son affection  le retient  à la vie.  Tiraillé par ces  désirs  contradictoires, le Roi résiste, malgré sa faiblesse physique  et ne veut pas mourir.  Juliette, sa servante, et le Garde l’accompagnent  avec émotion  dans toutes les étapes  de ce rituel initiatique  qui le mène vers la mort.  La Reine Marguerite finira par maitriser la situation en sagesse et le guidera doucement  mais fermement  à la mort et l’apaisement final. « Maintenant, tu peux prendre place » est sa dernière phrase  qui libère totalement  les attaches du Roi à la vie.  
Le Roi se meurt,  pièce autobiographique d’Eugène Ionesco,  qui  a un moment de sa vie a frôlé lui-même la mort, publiée en 1963 chez Gallimard,   témoigne d’une profondeur spirituelle  et humaine inégalable :  chaque homme  est roi au moment de sa mort , comme il l’est  au moment de sa naissance  où tout n’est  que promesse de joie et de bonheur.  « Qu’il est difficile de mourir » nous dit Ionesco par la bouche du Roi Bérenger, nom de personnage auquel  l’auteur  s’identifie  dorénavant  dans ses pièces.

 

 

 

 

 Distribution

 

 Technique

 

Video

 

   
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  Le Roi                    Jean-Jacques Vienot
           Christian André
          Christian De Lalaing
    S. Papasthatopoulos
                      O.Semoli-Hick
            A-F. Van Durme

 

 
Mise en Scène:
Irene Chalkia
 
Lumière :
 
 
Sons :
 
  Décors & scénographie : Nicole Lenoir
  Costumes:  
  Affiche: Théodore Kassapis
  Programme:  
 


 


 
 
 

 

 

 

 

 

 

         

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Photos

 

 

 

Roi se meurt (4...
Roi se meurt (4) Roi se meurt (4)

 

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une pièce de  Tennessee Williams     mise en scène par  Yannis Gavras

 

 Soudain lété dernier
 

Représentations
 

 

 

Résumé de la pièce

0n peut certes aimer ou ne pas aimer l’univers de Tennessee Williams avec ses relents d’aisselles et de parfums rancis, sa respectabilité jetée comme un voile mité sur les plus fétides turpitudes, son obsession furieuse du sexe. Soudain l’été dernier nous fait retrouver les mêmes paysages, le même climat. Le domaine de la hautaine Madame Venable est une sorte de "Maison Usher", de belle apparence encore, mais secrètement rongée et prête à s’écrouler.

Le fils très chéri de cette respectable dame est mort au cours d'un voyage. La mère le présente comme un être d’élite, un délicat poète. En fait, c’était un homme perverti jusqu'à la moelle, et sa mort fut abominable. Une jeune femme, Catherine, a été le témoin de cette mort. D’où un choc psychique qui a nécessité un séjour dans une maison de repos. Madame Venabte tient à ce qu’elle y reste toute sa vie. Et qu'avec elle soit enterrée la vérité sur la mort de son fils.


 

 

 

 

 Distribution

 

 Technique

 

Video

 

   
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  Personnages Interprètes
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
 

 

 

 

 

 

 
Mise en Scène:
Yannis Gavras
 
Lumière :
 
 
Sons :
 
  Décors & scénographie :  
  Costumes:  
  Affiche:  
  Souffleuse:  
  Programme:  
 
 
 


 
 
 

 

 

 

 

 

 

         

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Photos

 

 

 

Soudain été (13...
Soudain été (13) Soudain été (13)

 

 

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une pièce de    Molière      mise en scène par  Yannis Gavras

 

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Représentations
Centre Culturel Jacques Frank
Mai 1988
et
Théâtre Esch Galeries
Octobre 1988
 
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Molière

 

Résumé de la pièce*

 

Le Tartuffe ou l’Imposteur est une comédie en cinq actes (comportant respectivement 5, 4, 7, 8 et 7 scènes) et en vers (1 962 alexandrins) de Molière représentée pour la première fois au château de Versailles le 12 mai 1664 dans le cadre des quatre jours de jeux et de spectacles qui avaient prolongé les trois grandes journées de fête intitulées Les Plaisirs de l'Île enchantée. Elle ne comportait alors que trois actes.

 

On a longtemps cru que Molière l'avait écrite en réaction aux agissements de la très dévote Compagnie du Saint-Sacrement, mais on sait aujourd'hui que cette influence a été considérablement exagérée par les historiens anticléricaux de la fin du XIXe et du début du XXe siècle. En fait, dans la mesure où les dévots qui étaient présents à la Cour critiquaient le libertinage des mœurs (et les amours adultères du roi), le luxe, les fêtes, la politique de prestige et même la politique extérieure du royaume, Molière a été tenté, après avoir fait la satire de la conception traditionnelle (et donc catholique) du mariage dans L'École des femmes, de lancer une satire de la dévotion. En proposant un spectacle dans lequel les dévots sont présentés soit comme des ridicules (Orgon) soit comme des hypocrites (Tartuffe), il savait qu'il obtiendrait l'approbation du roi, les applaudissements de la plus grande partie de la Cour et les rires de l'aristocratie mondaine qui était la partie influente de son public dans son théâtre du Palais-Royal. Une thèse est que la pièce fut même une commande personnelle du roi pour le protéger des critiques de l'entourage de la reine-mère sur sa vie privée, la pièce étant jouée pour les Plaisirs de l'Île enchantée alors qu'y était célébré le retour de couches de sa maîtresse Mlle de La Vallière.

 

Louis XIV, qui avait applaudi la pièce à Versailles, dut se résoudre à interdire à Molière d'en donner des représentations publiques, à la demande de l'archevêque de Paris, Hardouin de Péréfixe, son ancien précepteur : l'Église et les dévots accusaient Molière d'impiété et lui reprochaient de donner une mauvaise image de la dévotion et des croyants. Après un premier placet adressé au roi pour défendre sa pièce et accuser ses ennemis de ne pas être de vrais dévots, mais de dangereux hypocrites, Molière entreprit de la remanier pour la rendre moins provocante, tout en composant et créant plusieurs autres pièces célèbres : Dom Juan ou le Festin de pierre en 1665, qui connaîtra six semaines de triomphe avant de tomber dans l'oubli ; puis Le Misanthrope ou l'Atrabilaire amoureux en juin 1666 (la pièce avait été entreprise au début de 1664, parallèlement à Tartuffe), puis plusieurs autres divertissements, pastorales et comédies (dont L'Avare en 1668). Une deuxième version en cinq actes, jouée le 5 août 1667 sous le titre de L'Imposteur avec l'accord du roi, fut aussitôt interdite en l'absence de Louis XIV (qui faisait alors le siège de Lille). Malgré les plaidoiries de Molière (il écrivit alors un deuxième placet), ce n'est qu'en 1669, au lendemain de la signature de la « Paix de l'Église » qui, apaisant les tensions religieuses, redonnait les coudées franches à Louis XIV, que la pièce — désormais appelée Tartuffe ou l'Imposteur — fut autorisée à être jouée régulièrement au théâtre du Palais-Royal et connut un immense succès : du 5 février au 9 avril, date de la clôture annuelle du théâtre pour la Semaine sainte, la troupe donna 28 représentations consécutives de la pièce, sans compter six visites, dont une chez la reine. Molière en profita alors pour écrire un troisième placet triomphateur.

 

* Informations Wikipedia

 

 

 

 

 

 

 Distribution

 

 Technique

 

Video

 

   
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  Personnages Interprètes
   adame Pernelle  Vittoria Puccini
   Orgon  Jean-Joseph Vienot
   Elmire  Fabienne Huwaert
   Damis  Bernard Polet
   Mariane  Julie Laduron
   Valère  Eric Durnez
   Cléante  Olivier Ceux
   Tartuffe  Yannis Gavras
   Dorine  Gisèle Decout
   Monsieur Loyal  François Gits
   Un Exempt  Jean-Marie Franchet
   Flipote  Fabienne Mischtack

 

 
Mise en Scène:
Yannis Gavras
  Décors & scénographie : Yannis Gavras
    Christine Rigaux
    Marc VanHove
    Caty Pericaud
  Lumières Fernand Kayl
  Sons Annick Houdayer
  Costumes: Costhea, Sara
  Affiche: Théodore Kassapis
  Souffleur:  J-M Franchet
  Programme:  Irène Chalkia
    Yannis Gavras
    Annie Paties
 
 
 


 
 
 

 

 

 

 

 

 

         

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Photos

 

 

 

Tartuffe (42)
Tartuffe (42) Tartuffe (42)

 

 

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un spettacolo Collettivo dell'ATIE  in tre parti :

 

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Rappresentazione al
Centre Joli Bois
  nel Novembre 1987
 
 

 

La PATENTE  di Luigi PIRANDELLO.  Messa in scena da Irène Chalkia

Trama

« ...Rosario Chiarchiaro s'è combinata una faccia da jettatore che è una meraviglia a vedere. S'è lasciato crescere su le cave gote gialle una barbaccia ispida e cespugliuta; s'è insellato sul naso un pajo di grossi occhiali cerchiati d'osso che gli danno l'aspetto di un barbagianni; ha poi indossato un abito lustro, sorcigno, che gli sgonfia da tutte le parti, e tiene una canna d'India in mano col manico di corno. »
È con questa maschera da menagramo che Chiarchiaro[1] si presenta in tribunale, poiché è così che lo vedono tutti quelli che terrorizzati lo incontrano facendo nel contempo gesti scaramantici; e dunque, se così deve essere, è meglio corrispondere a quello che gli altri credono che tu sia come tutti credono.
Se tu mi vedi come uno jettatore per quanto io faccia non riuscirò a cambiare la tua opinione e dunque sarò come tu mi vuoi ma che almeno possa trarne un vantaggio.
Il giudice D'Andrea, seriamente convinto che la jella non esista, vuole rendere giustizia al pover'uomo così ingiustamente messo al bando dalla società per una sciocca superstizione ed è quindi disposto a condannare il figlio del sindaco e un assessore, contro i quali s'è querelato per diffamazione Chiarchiaro a seguito degli scongiuri che quelli hanno pubblicamente e sfacciatamente fatti al suo passaggio. Ma il giudice viene a sapere dallo stesso querelante che questi è andato a fornire prove e testimonianze certe della sua capacità jettatoria agli stessi avvocati dei querelati. Dunque sarebbe lui che vuole essere condannato.
Eppure Chiarchiaro ha diversi motivi per chiedere giustizia: a causa della cattiva fama costruita su di lui la sua famiglia s'è rinchiusa in casa, le sue belle figliole non trovano più nessuno che voglia sposarle, lui stesso ha perduto il lavoro e fa la fame. Ma proprio per questo il presunto jettatore vuole che non ci siano più dubbi sulle sue doti di autore di malefici: chi li teme dovrà pagare una piccola somma per evitarli e perché questo non appaia come un'estorsione egli pretende che il giudice gli dia, condannandolo, un attestato, una patente per esercitare legalmente la sua professione di jettatore. Come il giudice con la sua laurea può esercitare la sua professione così Chiarchiaro potrà scrivere sul suo biglietto da visita: "di professione jettatore" e così, apertamente, potrà far pagare una tassa anti-jella ai superstiziosi.
Il giudice naturalmente si rifiuta, quando, proprio mentre Chiarchiaro pretende al alta voce la sua patente di jettatore, un colpo di vento fa cadere la gabbia dove, ormai morto per la caduta, cantava un cardellino unico ricordo della defunta cara mamma del giudice.
I giudici del collegio giudicante hanno assistito muti e sbigottiti all'accaduto: pagano in silenzio il loro obolo a Chiarchiaro che lo accetta sghignazzando: da adesso potrà ufficialmente esercitare la sua professione.

LE FINESTRE  di Dino BUZZATI.  Messa in scena da Serenella Morelli

Trama

Le Finestre : esempio della problematica esistenziale di Buzzati
Atto unico scritto su invito del Festival di Spoleto e allestito in questa città nel giugno 1959.
Racconta la vita di un ragazzo "bruciato" osservata alla finestra dai genitori, dai vicini, dalla ragazza amata : un esistenza per rapidi flashes, alla lente d'ingrandimento degli altri. E poco più di "un foglio d'album".
Nelle spazio di una vicenda scarna, lineare che si consuma in un tempo "scenico", si staglia come un'ombra questo dramma.
Buzzati è semplice, preciso e diretto. E d'una ammirevole grazia e malinconia, la malinconia che gli viene dalla consapevolezza che quella vita finirà male. Il testo è di una misura perfetta secondo i critici, di una discrezione rara.

L'arte buzzatiana è caratterizzata da una vena di domestico e pungente surrealismo ; è cosi sottile da far scoprire, nella linearità d'una vicenda spoglia, il mistero di cui è carica, e derivare, dall'apparente impassibilità del racconto, l'eterno pianto sulla sordità dell'uomo agli appelli di quel mistero e sulla fralezza del suo proprio destino. Arte definita anche a volte kafkiana, ma che invece appartiene in modo tanto singolare a Buzzati. La cosa che
colpisce subito nel racconto di Buzzati è la sua tecnica : l'abilità del "taglio" e la perfezione della "misura" : lo scrittore ê sapientissimo nello scegliere gli elementi indispensabili e nel definirli giustamente, come nel fermarsi quando anche una sola parola, o sfumatura, sarebbe superflua.
 

L'Uomo nudo e l'Uomo in frack  di Dario FO.  Messa in scena collettiva coordinata da Serenella Morelli

Trama

L'uomo nudo e l'uomo in frack: una farsa 

"... un ambasciatore viene trovato da un netturbino, nudo (e vivo) in unbidone della spazzatura: era fuggito dal letto di una donna all'improvviso
rientro del legittimo marito. Allo spazzino spetterà il compito di dareil via a un complicato snodarsi di situazioni, nella ricerca di un frack
con cui vestire l'uomo nudo..."

Questa farsa e tratta da un gruppo di quattro farse intitolate "Ladri, manichini e donne nude".Fu rappresentata per la prima volta a Milano al Piccolo Teatro il 6 giugno 1958 assieme alle altre tre: "Non tutti i ladri vengono per nuocere", "Gli imbianchini non hanno ricordi" -firmate da Dario Fo, l'ultima invece "Non andartene in giro tutta nuda" e firmata Georges Feydeau.
 

 

 Attori

 

 Tecnica

 

Video

 

   
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LA PATENTE

Il Giudice istruttore
L'usciere&nbsp
1°Giudice
2°Giudice
3°Giudice
Rosinella
Rosario

LE FINESTRE

Giuliana
Massimo
Anita   
Piera   
Paola   
Laura
 
L'UOMO NUDO e..
 
1° spazzino
2° spazzino
Donna
Uomo Nudo
Guardia
Uomo in Frack

 

Antonio FABBRI
Luigi MEGARO
Angelo PAGLIA
Giovanni BRIGANÐI
Dario PIROVAN0
Inge DE SMEDT
Sergio BELLI
 
 
Rita SALLUSTIO
Antonio FABBRI
Annie PATIES
Efigenia TORCOLETTI
Carla RINALDIN
Maria Rosa DE PAOLIS
 
 
 
Sergio BELLI
Dario PIOVANO
M. AMBROSI-GRAPPELLI
Leo BARONE
Adriana DI CARA
Sergio BENINI

 

 
LA PATENTE
 
Regia

 

Irène Chalkia

 
Assistenti
Paola Staboli
 
 
Giovanni BRIGANDI
 
scenografia
Irène CHALKIA
    Carla BOURGEOIS
    M.Antonietta D'AMICO
    Antonio FABBRI
  LE FINESTRE  
  Regia Serenella Morelli
  Assistente Rita Sallustio
     
  L'UOMO NUDO..  
  Regia collettiva sotto dir. S.Morelli
     
  SPETTACOLO intero
 
  Luci e suono Alain Van Lerberge
  Locandina Grazia Barone



 
 
 

 

 

 

 

 

 

         

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Photos

 

 

Uomo nudo e Uom...
Uomo nudo e Uomo in Frak (8) Uomo nudo e Uomo in Frak (8)

 

 

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une pièce de    SOPHOCLE      mise en scène par  Irène Chalkia

 

 Electre affiche-page-001
 

Représentations
au Centre Joli Bois
Mars 1984

Résumé de la pièce

Le personnage légendaire le plus célèbre parmi ceux qui portent le nom d’Electre est la fille d’Agamemnon et de Clytemnestre. Elle n’est pas connue de l’épopée homérique, mais, chez les poètes postérieurs, se substitue peu à peu à Laodicé, l’une des filles d’Agamemnon, dont le nom n’est plus mentionné à partir de ce moment-là.

Après le meurtre d’Agamemnon par Egisthe et Clytennestre, Electre, qui n’échappe que de peu à la mort, est traitée comme une esclave. Elle est sauvée par sa mère, qui intercède pour elle auprès d’Egisthe. Selon certaines versions, c’est elle qui soustrait le petit Oreste aux mains des meurtriers et le confie en secret au vieux précepteur qui l’emmène loin de Mycènes. Egisthe, pour éviter qu'Electre ne mette au monde un fils qui pourrait venger le meurtre d’Agamemnon, a marié la jeune fille à un paysan installé loin de la ville. Mais son mari a respecté sa virginité.

Selon d’autres auteurs, au contraire, Electre, qui avait été autrefois fiancée à Castor, puis promise à Polymestor, est tenue enfermée dans le palais de Mycènes.

Lors du retour d’Oreste, elle reconnaît son frère, qui est venu, comme elle, auprès du tombeau de leur père, et, avec lui, prépare la vengeance, c’est-à-dire l’assassinat de Clytemnestre et d’Egisthe. Elle prend une part active à ce double meurtre, et, lorsque, par la suite, Oreste est poursuivi par les Erinyes, elle s’occupe de lui. Elle joue un rôle dans différents épisodes de la légende d'Oreste, telle qu’elle a été développée par les tragiques.

Dans l’Oreste d’Euripide, elle participe aux épreuves de son frère et lutte à ses côtés contre l’hostilité du peuple, qui veut condamner les meurtriers à mort.


 

 

 

 Distribution

 

 Technique

 

Video

 

   
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  Electre
Chrysothemis
Clytemnestre
Oreste
Egisthe
Le Précepteur
La Confidente
La Porteuse de Traine
Un jeune Serviteur
Un vieux Serviteur
Le Cuisinier
Une Surveillante
Les Servantes:
Barbara CAPONE
Rita SALLUSTIO
Fabienne HUWAERT
Dimitris PACHTITIS
Christian ANDRE
Eric RAFFAULT
Maria Rosa DE PAOLIS
Giouli KALOUDI
Alain SELLER
Cees BOER
Joseph DOUDARD
Anne-Marie LEMPEREZ
Patricia CORNELISSEN
Danielle DE SMEDT
Marie-Noëlle KLEIN
Brigitte MEIGNANT
Lucia SGARBOSSA

 

 
Mise en Scène:
Irène Chalkia
 
Chorégraphie:
Juan Torres
 
Traduction:
Jacqueline Verdeaux
 
Régie:
Alain Van Lerberge
  Décors:
Charles-Etienne Gudin
Alain Seller
Christian André
Cécile Dargnies
Marie-Noëlle Klein
P.Papachristopoulos
  Réalisation costumes: Voula Makri
  Assistance technique: Marie-Noëlle Klein
  Maquillage: Nicole Lenoir
  Costumes: Costhea, Sara
  Affiche: Charles-Etienne Gudin
  Souffleuse Marilena Damo
  Programme:
Irène Chalkia
Danielle De Smedt
Alain Seller
 
 
 


 
 
 

 

 

 

 

 

 

         

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Photos

 

 

 

Electre (59)
Electre (59) Electre (59)

 

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un concert scènique mis en scène par  Irène Chalkia

 

 Alchimies affiche-page-001
 

Représentations
au Théâtre de Banlieu
Janvier 1988

 

 

Résumé de la pièce

« Le foule aujourd’hui comme autrefois est avide de mystère : elle ne demande qu'à prendre conscience des lois suivant lesquelles le destin se manifeste et qu'à deviner peut-être le secret de ses apparitions. »

[Antonin Artaud - Le théâtre et son double]

Chers spectateurs,

Au lieu de vous présenter ce soir un travail terminé, clôturé dans le temps et l'espace d'une représentation, nous vous proposons une ébauche d’un cheminement "infini" à travers les images des mots et des sons, à travers la sensibilité créatrice d'un compositeur qui, puisant dans les grands mythes de l'humanité, fait jaillir des profondeurs de notre inconscient culturel un langage nouveau, musical et imagé.

Les extraits de textes de Yannis RITSOS et de Nikos KAZANTZAKI sur lesquels nous avons eu l'occasion de travailler, en laboratoire, des improvisations au niveau du jeu d'acteur en rapport avec l'espace, nous ont semblés les plus appropriés pour établir une trame du verbe théâtral dans ce nouveau contexte musical imagé.

Attirés par l’idée de revivre des instants des grands mythes de l'antiquité grecque dans un espace moderne, éclaté, nous avons opté pour cet espace, le grand cratère de la mémoire où temps et espace s’entremêlent, où le VERBE poétique s'amplifie avec le GESTE théâtral et la MUSIQUE dépasse les frontières du temps.

Ce spectacle expérimental – joue 1 seule fois – a été un dérivé de la scénographie  du Roi se meurt,  dans  les lieux  scéniques de l’ancien Théâtre de Banlieue.  L’expérience consistait a jouer des fragments des textes poétiques  dans le cratère du volcan éteint qui était la scénographie principale  du Roi se meurt,  avec  des musiques « live » improvisées tout au long  du spectacle par le compositeur Armando Carrère.  C’est ainsi  que la musique par un procédé alchimique s’incorporait au fur et à mesure  dans le verbe théâtral et la pulsion  du rythme musicale  dictait  les mouvements chorégraphiques   des acteurs  dont le jeu  était  constamment modifie  en résonance avec la musique  improvisée.  On peut parler d’une performance  avant  la mode actuelle,  puisque le décor du Roi se meurt  servait d’installation  inspirante pour la musique et la chorégraphie ; seuls facteurs  déterminés à l’avance : le texte et l’espace  du jeu  dans le perpétuum  temporel et alchimique  suggéré par la musique.

 

 

 

 

 Distribution

 

 Technique

 

Video

 

   
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Textes de:
 
Yannis RITSOS et
Nikos KAZANTZAKI
 
 
 
 
Musique:
 
Armando Carrère
Dis par:
 
Antonio FABBRI
Mario TOSTI
Sergio BELLI    
Rita Sallustio
Gisela BIERSCHWALE
Nadine RODILLA

 

 
Mise en Scène:
Irene Chalkia
 
Lumière :
 
 
Sons :
 
  Décors & scénographie : Nicole Lenoir
  Costumes:  
  Affiche:  
  Programme:  
 


 


 
 
 

 

 

 

 

 

 

         

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Photos

 

 

 

 

 

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una commedia di  Carlo Goldoni      adattata e messa in scena  da Yannis Gavras nel 1989

                                                                                                   da Antonio Fabbri nel 2004

 

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Rappresentazione al
Palais des Beaux Arts
in Giugno 1989
 
 Rustheghi
 
All'Istituto Italiano di Cultura
nel Maggio 2004
 
 

 

Trama

La storia, per chi non la conoscesse, è ambientata a Venezia nel '700 e ci mostra quattro mercanti veneziani intransigenti e rigidi con le proprie mogli e i propri figli.
Un matrimonio combinato tra il figlio e la figlia di due di loro, all'insaputa degli interessati, suscita lo sdegno delle mogli che, con uno stratagemma, fanno incontrare i due promessi prima del contratto di matrimonio. Ma l'imbroglio è scoperto e succede il finimondo.
Però, le donne, sottomesse ma non troppo, hanno la meglio su questi padri-padroni.

 

 

 

 Attori

 

 Tecnica

 

Video

 

   
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PERSONAGGI       

INTERPRETI

1989

Nadia Grigoletto
Annie Paties
Ortensia Semoli-Hick
Efigenia Torcoletti
Leo Barone
Jean-François Brogniet
Antonio Fabbri
Dario Pirovano
Fabrizio Maria Trisciuzzi
Valerio Zanotto


2004

Silvano Cesaro
Paolo Cammisano
Rosangela Di Serio
Antonio Esposito
Antonio Fabbri
Paolo Garzotti
Romano Masini
Antonio Melcarne
Benedetta Sechi
Ortensia Semoli-Hick

 

 

 
 
Adattamento e Regia: Yannis Gavras
 
Decoro sonore e Luci:
Costumi:
 
 
 
 
 
 
 
 
Adattamento e Regia: Antonio Fabbri
 
Decoro sonore e Luci:
Costumi:
Locandina:
 
 
 


 
 
 

 

 

 

 

 

 

         

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Photos

 

 

Rusteghi (23)
Rusteghi (23) Rusteghi (23)

 

 

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una commedia di   Neil Simon      adattata e messa in scena da  Yannis Gavras

 

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Rappresentazione al 
Espace Delvaux
in Dicembre 1990

 

Trama

La commedia è ambientata a New York negli anni sessanta: due divorziati, Felix e Oscar, diversi in tutto e per tutto, dividono un appartamento e si scontrano con i problemi di convivenza quotidiana.

 

 

 

 Attori

 

 Tecnica

 

Video

 

   
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PERSONAGGI       

INTERPRETI

Ortensia Semoli-Hick
Olivier Brissaud
Giuseppe Gamucci
Sergio Benini
Diederick Bangert
Dario Pirovano
Leo Barone
Marina Ambrosi-Grappelli

 

Adattamento e Regia
Yannis Gavras
Decoro sonore e Luci
 
Costumi:  
Locandina: Theodoros Kassapis
 
 
 


 
 
 

 

 

 

 

 

 

         

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Photos

 

 

 

 

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una commedia di  Eduardo De Filippo      adattata e messa in scena da  Yannis Gavras

 

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Rappresentazione al 
Espace Senghor
in Maggio 1992

 

Trama

Sembra un fine settimana come gli altri in casa Priore: il sabato passa con Rosa affaccendata nella preparazione del suo famoso ragù, ma nelle sue movenze s'indovina un certo nervosismo accentuato da quello del marito Peppino che la rimprovera per ogni minima cosa e che se la prende con chiunque gli capiti a tiro: con il figlio che si confida con il nonno invece che seguire i suoi consigli, con la figlia Giulianella che litiga con il fidanzato, con la zia Memè che tormenta il figlio con inutili cure mediche... Insomma il clima familiare si sta surriscaldando al punto che è inevitabile l'esplosione che avverrà il giorno dopo soprattutto nei confronti di un estraneo alla famiglia, il vicino di casa il ragioniere Luigi Ianniello, che con la moglie è stato invitato per il pranzo domenicale. Il ragioniere, senza secondi fini ma proprio per il suo naturale carattere espansivo e amichevole, frequenta casa Priore con una certa invadenza ma mostrandosi sempre amico di Peppino e particolarmente affabile verso la padrona di casa. Ed è proprio il ragioniere la causa dell'improvvisa e imprevista scena che mette in opera Peppino sconvolgendo e mandando all'aria il pranzo della domenica. La moglie sconvolta dalla scenata di gelosia, che è rivolta soprattutto a lei e che è il risultato delle incomprensioni che si sono accumulate e che hanno minato il rapporto della coppia, viene colta da un leggero malore. Assistita dalle cure premurose dei familiari passa la giornata domenicale mentre Peppino sconsolato e amareggiato, pentito di quanto ha fatto e detto, addolorato per aver causato il malessere della moglie, si sente incompreso da tutti. Arriva finalmente il lunedì: la famiglia Priore con animo più tranquillo riflette su quanto è accaduto il giorno prima e capisce che in fondo il motivo che ha fatto nascere il litigio della coppia è l'amore che ancora li unisce. Marito e moglie alla fine si dicono quello che finora hanno tenuto nascosto nei loro animi e dal chiarimento rinasce il ricordo del loro amore che ancora li terrà uniti.

 

 

 

 Attori

 

 Tecnica

 

Video

 

   
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PERSONAGGI       

INTERPRETI

Francesco Affinito
Roberto Buscemi
Patrizia Carollo
Antonio Fabbri
Sandro Fanella
Salvatore Gabola
Giancarlo Leprini
Davide Morante
Thomas Reyers
Rita Sallustio
Mariano Scarano
Ortensia Semoli-Hick
Vera Solimando
Beppe Tassara
Efigenia Torcoletti
Marcella Toro
Paolo Ziotti

 

Adattamento e Regia
Yannis Gavras
Decoro sonore e Luci
 
Costumi:  
Locandina:  
 
 
 


 
 
 

 

 

 

 

 

 

         

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Photos

 

 

 

 

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una commedia di   Carlo Gozzi      adattata e messa in scena da  Rita Sallustio

 

 IMG 2980
 

Rappresentazione all'
Istituto Italiano di Cultura
in Dicembre 1993

 

Trama

Basata sulla fiaba di Giambattista Basile, contenuta ne Lo cunto de li cunti.

Atto I
Il re di Coppe e il suo cortigiano e consigliere Pantalone si dolgono delle innumerevoli malattie del principe Tartaglia, causate dal suo eccessivo amore per la poesia tragica. I medici di corte informano il re che l'ipocondria di suo figlio guarirà solo se egli riuscirà a ridere, quindi Pantalone convoca il menestrello Truffaldino perché faccia divertire i presenti, assieme al primo ministro Leandro, che però segretamente trama contro il re per succedergli.
Il mago Celio, protettore del re, e la fata Morgana, protettrice di Leandro e Clarissa (nipote del re e amante di Leandro, che spera che il principe muoia), si sfidano a carte per stabilire chi avrà la meglio: Celio perde per tre volte di fila.
Leandro e Clarissa discutono su come uccidere il principe: per aggravare la sua malattia, Leandro suggerisce di declamargli un'ennesima poesia tragica, suscitando l'approvazione dei Tragici, ma Clarissa e gli Originali preferirebbero metodi più spicci, come il veleno. Interviene Smeraldina, che rivela loro di essere al servizio della fata Morgana, e quindi di parteggiare anche lei per Leandro.
Atto II
Tutti i tentativi di far ridere il principe, nonostante gli incitamenti dei Comici, stanno fallendo miseramente, finché la fata Morgana, che era sopraggiunta travestita da vecchia, viene riconosciuta da Truffaldino, che la fa inciampare. Il principe finalmente, vedendo questa scena, scoppia a ridere, e così fanno anche tutti gli altri presenti, tranne Leandro e Clarissa. Morgana allora lo maledice: da quel momento Tartaglia sarà ossessionato dall'amore per tre melarance, prigioniere della maga Creonta, e per riuscire a trovare pace dovrà liberarle. Il principe parte assieme a Truffaldino per cercarle.
Atto III
Celio comunica ai suoi due protetti, Tartaglia e Truffaldino, dove si trovano le tre melarance, e li avvisa di aprirle solo se avranno acqua a disposizione sul momento. Anche se, avendo perso a carte, i suoi poteri sono inefficaci, come gli ricorda il diavolo Farfarello, dà a Truffaldino un anello magico da usare contro la maga, che appare come una spaventosa cuoca che punisce gli intrusi prendendoli a mestolate. Con l'aiuto di Farfarello arrivano in volo fino al palazzo, riescono a distrarre la cuoca (che è interpretata da un cantante maschio con voce da basso), rubano le melarance e fuggono nel deserto. Mentre il principe dorme, Truffaldino, assetato, apre una delle melarance, pensando che contenesse succo da bere, e invece ne esce la principessa Linetta, che, chiedendo e non trovando nulla da bere, muore. Truffaldino apre la seconda melarancia, da cui esce Nicoletta, ma anch'ella di lì a poco muore di sete. Spaventato, Truffaldino scappa, mentre il principe si risveglia. Egli apre la terza melarancia, da cui esce la bellissima principessa Ninetta, e i due subito si innamorano. Anche Ninetta rischia di morire, ma intervengono gli Originali a portare un secchio d'acqua per salvarla. Il principe, che ha chiesto a Ninetta di sposarlo, si allontana per un attimo per cercarle dei vestiti adatti per presentarsi al castello del re; durante la sua assenza arriva la fata Morgana, che trasforma la ragazza in un grosso ratto. Smeraldina prende il suo posto: quando Tartaglia torna, naturalmente si rifiuta di sposarla, ma il padre lo obbliga a mantenere la promessa fatta.
Atto IV
Al palazzo reale, dove il principe Tartaglia si sta a malincuore preparando a sposare Smeraldina, Celio e la fata Morgana litigano di nuovo, accusandosi l'un l'altro di aver imbrogliato, ma in aiuto del mago intervengono gli Originali, che scacciano la fata. Celio restituisce a Ninetta le sue fattezze e la giovane può sposare il principe. La congiura di Leandro e Clarissa viene scoperta e il re li condanna a morte, ma la fata Morgana li aiuta a scappare. L'opera si conclude con i festeggiamenti per le nozze tra Tartaglia e Ninetta
 

 

 

 Attori

 

 Tecnica

 

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PERSONAGGI       

INTERPRETI



 

Adattamento e Regia
Rita Sallustio
Decoro sonore e Luci
Rita Sallustio
Costumi: Costhea, Sara
Locandina: Theodoro Kassapis
 
 
 


 
 
 

 

 

 

 

 

 

         

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