Pièces en français

Pièces en français (36)

 

Retrouvez ci-dessous l'ensemble des pièces de théâtre interprèté en français par l'ATIE
lundi, 22 October 1990 21:17

Oedipe

Écrit par

Dans une mise en scène de   Serenella Morelli

 

 undercont
 

Représentations
 

 

 

Résumé de la pièce

 

Œdipe est un héros de la mythologie grecque. Il fait partie de la dynastie des Labdacides, les rois légendaires de la ville de Thèbes. Fils de Laïos et de Jocaste, Œdipe est principalement connu pour avoir résolu l'énigme du sphinx et pour s'être rendu involontairement coupable de parricide et d'inceste. Sa légende a beaucoup inspiré les arts pendant et après l'Antiquité, sa postérité ayant été très influencée par les visions du mythe que donnent les tragédies grecques. À l'époque contemporaine, la figure d'Œdipe a également été utilisée pour illustrer le complexe dit d'Œdipe en psychanalyse.

 

 

 

 

 Distribution

 

 Technique

 

Video

 

   
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  Rita Sallustio:                     
             
           
    
                  
           

 

 
Mise en Scène:
Serenella Morelli
 
Lumière :
 
 
Sons :
 
  Décors & scénographie : Nicole Lenoir
  Costumes:  
  Affiche:  
  Programme:  
 


 


 
 
 

 

 

 

 

 

 

         

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Photos

 

 

 

Oedipe (19)
Oedipe (19) Oedipe (19)

 

 

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dimanche, 22 October 1989 21:24

Yerma

Écrit par

une pièce de Federico Garcia  Lorca      mise en scène par  Irène Chalkia

 

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Représentations
au Centre Culturel Jacques Frank Janvier 1989

le metteur en scène

La pièce

Résumé de la pièce

La mort nous guette partout : dans la nuit au clair de lune, lorsque l'amour se dérobe furtivement sous les bras des amoureux, dans le regard d’un ami qui s'éteint un jour, dans le silence de la conscience profonde d’un être proche qui s’éloigne...

Mais la vie bat son plein dans la lumière du jour à la rivière. L’eau est fécondité, symbole maternel, sécurité (l'eau matricielle), accès à l’universel ; mais aussi joie, fraîcheur, cours naturel et vivant des choses.

La vie en société est créatrice et destructrice en même temps. La solitude régénère les désirs et les aspirations inavouées, mais le regard collectif des autres est catalyseur des obsessions et des rêves obscurs.

Pourrait-on ainsi résumer cette pièce de Garcia Lorca dans laquelle le poète ose, en toute liberté, se pencher et regarder dans l'abîme qui sépare les deux mondes de l'existence humaine, à savoir le masculin et le féminin?

Chaud et froid, sec et humide, rouge, noir et blanc, lumière joyeuse et nuit profonde, telles semblent être les températures et les couleurs de cette dramaturgie qui s'inscrit - à juste titre - dans la tradition de la tragédie grecque.

Yerma n’est pas un drame familial, loin de là : c’est une tragédie, parce que la société - par la présence des chœurs que nous avons accentuée - est aussi importante que le noyau familial qui supporte le poids de la tension dramatique. La société, en tant que voix et regard collectifs (les chœurs) ou par ses modèles de vie individuels (Maria, Victor, la Vieille, Dolorès et la "Folle") déclenche et nourrit le conflit dans le couple.
La mort de Juan n’est pas un meurtre habituel. C'est un sacrifice "moderne" dans un espace sacralisé par la danse des pèlerins autour du couple archétypal du Mâle et de la Femelle.
Et le prêtre-sacrificateur est Yerma, la femme stérile, celle que la société calomnie et condamne, parce que non conforme à l’image socialement établie et "agréée" de la femme-mère ...

Que dire de plus ? Combien ce problème et cette image de la société espagnole des années 1930 touche notre cœur, par sa poésie et sa vérité, et nous concerne, même en 1989, nous animateurs et vous spectateurs du grand théâtre européen.


 

 

 

 

 

 Distribution

 

 Technique

 

   
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Rita Sallustio:
Yerma
 
Georges Strongylis :
Juan
 
Anna-F Van Durmen:           
Maria
 
S. Papastathopoulos:    
Victor
 
Graziella Silvò:                     
La vieille
 
Ortensia Semoli-Hick:
1° jeune femme
 
Nadine Rodilla:
2° jeune femme
 
Les Lavandières:
   
Dora Avlonitou
Gisela Bierschwale
M. De Decker
Carla Rinaldin
Nadine Rodilla
O. Semoli-Hick
 
Les Belles soeurs:
   
Annie Paties
Efigenia Torcoletti
 
Marie Müller:                       
Dolores
 
Marianne De Decker:            
Une vieille
 
Carla Rinaldin:                     
Une vieille
 
Les deux inconnus:
Danielle De Smedt
Antonio Fabbri
 
Gisela Bierschwale:
1° femme
 
Carla Rinaldin:
2° femme
 
Daniel-D. Gonzalez:        
Un enfant
 
Danielle De Smedt:              
La Femelle
 
Antonio Fabbri:                  
Le Mâle
 
Gérard Emion:                     
1°homme
 
Aloysius Willekens:               
2°homme
 
Choeurs:
 
Dora Avlonitou
M. De Decker
Danielle De Smedt
Marie Müller
Carla Rinaldin
Gisela Bierschwale
Nadie Rodilla
O. Semoli-Hick
A-F Van Durmen

 

 
Mise en Scène:
Irene Chalkia
 
Lumière:
 
 
Sons:
 
 
Décors:
Nicole Lenoir

 

   
 
Costumes:
 
 
Affiche:
 
Programme:
 
 


 


 
 
 

 

 

 

 

 

 

         

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Photos

 

 

 

Yerma (9)
Yerma (9) Yerma (9)

 

 

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vendredi, 11 November 1988 17:13

Alchimies Musicales du Verbe Théâtral

Écrit par

un concert scènique mis en scène par  Irène Chalkia

 

 Alchimies affiche-page-001
 

Représentations
au Théâtre de Banlieu
Janvier 1988

 

 

Résumé de la pièce

« Le foule aujourd’hui comme autrefois est avide de mystère : elle ne demande qu'à prendre conscience des lois suivant lesquelles le destin se manifeste et qu'à deviner peut-être le secret de ses apparitions. »

[Antonin Artaud - Le théâtre et son double]

Chers spectateurs,

Au lieu de vous présenter ce soir un travail terminé, clôturé dans le temps et l'espace d'une représentation, nous vous proposons une ébauche d’un cheminement "infini" à travers les images des mots et des sons, à travers la sensibilité créatrice d'un compositeur qui, puisant dans les grands mythes de l'humanité, fait jaillir des profondeurs de notre inconscient culturel un langage nouveau, musical et imagé.

Les extraits de textes de Yannis RITSOS et de Nikos KAZANTZAKI sur lesquels nous avons eu l'occasion de travailler, en laboratoire, des improvisations au niveau du jeu d'acteur en rapport avec l'espace, nous ont semblés les plus appropriés pour établir une trame du verbe théâtral dans ce nouveau contexte musical imagé.

Attirés par l’idée de revivre des instants des grands mythes de l'antiquité grecque dans un espace moderne, éclaté, nous avons opté pour cet espace, le grand cratère de la mémoire où temps et espace s’entremêlent, où le VERBE poétique s'amplifie avec le GESTE théâtral et la MUSIQUE dépasse les frontières du temps.

Ce spectacle expérimental – joue 1 seule fois – a été un dérivé de la scénographie  du Roi se meurt,  dans  les lieux  scéniques de l’ancien Théâtre de Banlieue.  L’expérience consistait a jouer des fragments des textes poétiques  dans le cratère du volcan éteint qui était la scénographie principale  du Roi se meurt,  avec  des musiques « live » improvisées tout au long  du spectacle par le compositeur Armando Carrère.  C’est ainsi  que la musique par un procédé alchimique s’incorporait au fur et à mesure  dans le verbe théâtral et la pulsion  du rythme musicale  dictait  les mouvements chorégraphiques   des acteurs  dont le jeu  était  constamment modifie  en résonance avec la musique  improvisée.  On peut parler d’une performance  avant  la mode actuelle,  puisque le décor du Roi se meurt  servait d’installation  inspirante pour la musique et la chorégraphie ; seuls facteurs  déterminés à l’avance : le texte et l’espace  du jeu  dans le perpétuum  temporel et alchimique  suggéré par la musique.

 

 

 

 

 Distribution

 

 Technique

 

Video

 

   
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Textes de:
 
Yannis RITSOS et
Nikos KAZANTZAKI
 
 
 
 
Musique:
 
Armando Carrère
Dis par:
 
Antonio FABBRI
Mario TOSTI
Sergio BELLI    
Rita Sallustio
Gisela BIERSCHWALE
Nadine RODILLA

 

 
Mise en Scène:
Irene Chalkia
 
Lumière :
 
 
Sons :
 
  Décors & scénographie : Nicole Lenoir
  Costumes:  
  Affiche:  
  Programme:  
 


 


 
 
 

 

 

 

 

 

 

         

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Photos

 

 

 

 

 

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dimanche, 23 October 1988 16:19

Tartuffe

Écrit par

une pièce de    Molière      mise en scène par  Yannis Gavras

 

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Représentations
Centre Culturel Jacques Frank
Mai 1988
et
Théâtre Esch Galeries
Octobre 1988
 
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Molière

 

Résumé de la pièce*

 

Le Tartuffe ou l’Imposteur est une comédie en cinq actes (comportant respectivement 5, 4, 7, 8 et 7 scènes) et en vers (1 962 alexandrins) de Molière représentée pour la première fois au château de Versailles le 12 mai 1664 dans le cadre des quatre jours de jeux et de spectacles qui avaient prolongé les trois grandes journées de fête intitulées Les Plaisirs de l'Île enchantée. Elle ne comportait alors que trois actes.

 

On a longtemps cru que Molière l'avait écrite en réaction aux agissements de la très dévote Compagnie du Saint-Sacrement, mais on sait aujourd'hui que cette influence a été considérablement exagérée par les historiens anticléricaux de la fin du XIXe et du début du XXe siècle. En fait, dans la mesure où les dévots qui étaient présents à la Cour critiquaient le libertinage des mœurs (et les amours adultères du roi), le luxe, les fêtes, la politique de prestige et même la politique extérieure du royaume, Molière a été tenté, après avoir fait la satire de la conception traditionnelle (et donc catholique) du mariage dans L'École des femmes, de lancer une satire de la dévotion. En proposant un spectacle dans lequel les dévots sont présentés soit comme des ridicules (Orgon) soit comme des hypocrites (Tartuffe), il savait qu'il obtiendrait l'approbation du roi, les applaudissements de la plus grande partie de la Cour et les rires de l'aristocratie mondaine qui était la partie influente de son public dans son théâtre du Palais-Royal. Une thèse est que la pièce fut même une commande personnelle du roi pour le protéger des critiques de l'entourage de la reine-mère sur sa vie privée, la pièce étant jouée pour les Plaisirs de l'Île enchantée alors qu'y était célébré le retour de couches de sa maîtresse Mlle de La Vallière.

 

Louis XIV, qui avait applaudi la pièce à Versailles, dut se résoudre à interdire à Molière d'en donner des représentations publiques, à la demande de l'archevêque de Paris, Hardouin de Péréfixe, son ancien précepteur : l'Église et les dévots accusaient Molière d'impiété et lui reprochaient de donner une mauvaise image de la dévotion et des croyants. Après un premier placet adressé au roi pour défendre sa pièce et accuser ses ennemis de ne pas être de vrais dévots, mais de dangereux hypocrites, Molière entreprit de la remanier pour la rendre moins provocante, tout en composant et créant plusieurs autres pièces célèbres : Dom Juan ou le Festin de pierre en 1665, qui connaîtra six semaines de triomphe avant de tomber dans l'oubli ; puis Le Misanthrope ou l'Atrabilaire amoureux en juin 1666 (la pièce avait été entreprise au début de 1664, parallèlement à Tartuffe), puis plusieurs autres divertissements, pastorales et comédies (dont L'Avare en 1668). Une deuxième version en cinq actes, jouée le 5 août 1667 sous le titre de L'Imposteur avec l'accord du roi, fut aussitôt interdite en l'absence de Louis XIV (qui faisait alors le siège de Lille). Malgré les plaidoiries de Molière (il écrivit alors un deuxième placet), ce n'est qu'en 1669, au lendemain de la signature de la « Paix de l'Église » qui, apaisant les tensions religieuses, redonnait les coudées franches à Louis XIV, que la pièce — désormais appelée Tartuffe ou l'Imposteur — fut autorisée à être jouée régulièrement au théâtre du Palais-Royal et connut un immense succès : du 5 février au 9 avril, date de la clôture annuelle du théâtre pour la Semaine sainte, la troupe donna 28 représentations consécutives de la pièce, sans compter six visites, dont une chez la reine. Molière en profita alors pour écrire un troisième placet triomphateur.

 

* Informations Wikipedia

 

 

 

 

 

 

 Distribution

 

 Technique

 

Video

 

   
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  Personnages Interprètes
   adame Pernelle  Vittoria Puccini
   Orgon  Jean-Joseph Vienot
   Elmire  Fabienne Huwaert
   Damis  Bernard Polet
   Mariane  Julie Laduron
   Valère  Eric Durnez
   Cléante  Olivier Ceux
   Tartuffe  Yannis Gavras
   Dorine  Gisèle Decout
   Monsieur Loyal  François Gits
   Un Exempt  Jean-Marie Franchet
   Flipote  Fabienne Mischtack

 

 
Mise en Scène:
Yannis Gavras
  Décors & scénographie : Yannis Gavras
    Christine Rigaux
    Marc VanHove
    Caty Pericaud
  Lumières Fernand Kayl
  Sons Annick Houdayer
  Costumes: Costhea, Sara
  Affiche: Théodore Kassapis
  Souffleur:  J-M Franchet
  Programme:  Irène Chalkia
    Yannis Gavras
    Annie Paties
 
 
 


 
 
 

 

 

 

 

 

 

         

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Photos

 

 

 

Tartuffe (42)
Tartuffe (42) Tartuffe (42)

 

 

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samedi, 22 October 1988 21:15

Le Roi se Meurt

Écrit par

une pièce de   Eugène Ionesco     mise en scène par  Irène Chalkia

 

 Le roi se meurt 1-2
 

Représentations
au Théâtre de Banlieu
Janvier 1988

 

Résumé de la pièce

En  janvier 1988, la réalisation  du Roi se meurt  d’Eugène Ionesco a ouvert  de nouvelles perspectives au niveau  international  pour les activités de l’ATIE :  avec ce spectacle l’ATIE a participé au Festival  International  de théâtre à  Chieti  (Italie)  et  par la suite  (en octobre 1988),  il a été représenté  au Grand Duché de Luxembourg,  au Théâtre Municipal d’Esch sur Alzette.   
L’histoire : Le vieux roi Bérenger  ne peut se résoudre à mourir, malgré son âge avancé et malgré les conseils de son médecin et l’aide de ses deux reines ; la reine Marguerite et le médecin essaient de le raisonner  et le convaincre  de lâcher prise  et d’abdiquer, tandis que la reine Marie avec sa compassion et son affection  le retient  à la vie.  Tiraillé par ces  désirs  contradictoires, le Roi résiste, malgré sa faiblesse physique  et ne veut pas mourir.  Juliette, sa servante, et le Garde l’accompagnent  avec émotion  dans toutes les étapes  de ce rituel initiatique  qui le mène vers la mort.  La Reine Marguerite finira par maitriser la situation en sagesse et le guidera doucement  mais fermement  à la mort et l’apaisement final. « Maintenant, tu peux prendre place » est sa dernière phrase  qui libère totalement  les attaches du Roi à la vie.  
Le Roi se meurt,  pièce autobiographique d’Eugène Ionesco,  qui  a un moment de sa vie a frôlé lui-même la mort, publiée en 1963 chez Gallimard,   témoigne d’une profondeur spirituelle  et humaine inégalable :  chaque homme  est roi au moment de sa mort , comme il l’est  au moment de sa naissance  où tout n’est  que promesse de joie et de bonheur.  « Qu’il est difficile de mourir » nous dit Ionesco par la bouche du Roi Bérenger, nom de personnage auquel  l’auteur  s’identifie  dorénavant  dans ses pièces.

 

 

 

 

 Distribution

 

 Technique

 

Video

 

   
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  Le Roi                    Jean-Jacques Vienot
           Christian André
          Christian De Lalaing
    S. Papasthatopoulos
                      O.Semoli-Hick
            A-F. Van Durme

 

 
Mise en Scène:
Irene Chalkia
 
Lumière :
 
 
Sons :
 
  Décors & scénographie : Nicole Lenoir
  Costumes:  
  Affiche: Théodore Kassapis
  Programme:  
 


 


 
 
 

 

 

 

 

 

 

         

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Photos

 

 

 

Roi se meurt (4...
Roi se meurt (4) Roi se meurt (4)

 

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jeudi, 22 October 1987 21:23

Soudain l'été dernier

Écrit par

une pièce de  Tennessee Williams     mise en scène par  Yannis Gavras

 

 Soudain lété dernier
 

Représentations
 

 

 

Résumé de la pièce

0n peut certes aimer ou ne pas aimer l’univers de Tennessee Williams avec ses relents d’aisselles et de parfums rancis, sa respectabilité jetée comme un voile mité sur les plus fétides turpitudes, son obsession furieuse du sexe. Soudain l’été dernier nous fait retrouver les mêmes paysages, le même climat. Le domaine de la hautaine Madame Venable est une sorte de "Maison Usher", de belle apparence encore, mais secrètement rongée et prête à s’écrouler.

Le fils très chéri de cette respectable dame est mort au cours d'un voyage. La mère le présente comme un être d’élite, un délicat poète. En fait, c’était un homme perverti jusqu'à la moelle, et sa mort fut abominable. Une jeune femme, Catherine, a été le témoin de cette mort. D’où un choc psychique qui a nécessité un séjour dans une maison de repos. Madame Venabte tient à ce qu’elle y reste toute sa vie. Et qu'avec elle soit enterrée la vérité sur la mort de son fils.


 

 

 

 

 Distribution

 

 Technique

 

Video

 

   
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  Personnages Interprètes
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
 

 

 

 

 

 

 
Mise en Scène:
Yannis Gavras
 
Lumière :
 
 
Sons :
 
  Décors & scénographie :  
  Costumes:  
  Affiche:  
  Souffleuse:  
  Programme:  
 
 
 


 
 
 

 

 

 

 

 

 

         

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Photos

 

 

 

Soudain été (13...
Soudain été (13) Soudain été (13)

 

 

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mardi, 22 October 1985 21:18

Le Petit Prince

Écrit par

un récit  d' Antoine de SAINT-EXUPERY      mis en scène par  Irène Chalkia

 

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Représentations
Salle de Meent
Décembre 1985

Résumé de la pièce

Le Petit Prince est une œuvre de langue française, la plus connue d'Antoine de Saint-Exupéry. Publié en 1943 à New York simultanément en anglais et en français, c'est un conte poétique et philosophique sous l'apparence d'un conte pour enfants.

Le langage, simple et dépouillé, parce qu'il est destiné à être compris par des enfants, est en réalité pour le narrateur le véhicule privilégié d'une conception symbolique de la vie. Chaque chapitre relate une rencontre du petit prince qui laisse celui-ci perplexe quant au comportement absurde des « grandes personnes ». Chacune de ces rencontres peut être lue comme une allégorie.

La pureté du langage, le dépouillement et la profondeur sont les qualités maîtresses de l'œuvre.

On peut y lire une invitation de l'auteur à retrouver l'enfant en soi, car « toutes les grandes personnes ont d'abord été des enfants. (Mais peu d'entre elles s'en souviennent.) ». L'ouvrage est dédié à Léon Werth, mais « quand il était petit garçon ».*

Qui n’a pas rêvé d’accompagner Le Petit Prince dans ses aventures terrestres ?  Tel a été le désir d’Irène Chalkia  qui a adapté pour la scène  le texte original du livre dans sa version intégrale.
Le spectacle a été créé - avec la collaboration de l’Aéro-club des C.E. et des Services Sociaux de la Commission,   le 10 décembre 1985  et representé jusqu’au 14 décembre 1985 dans la grande salle DE MEENT d’Alsemberg. Ce large espace a permis le déploiement d’une scénographie invitant le public au voyage afin qu’il puisse visiter  successivement  avec le Petit Prince  toutes les planètes.  Seule la scène avait été réservée à la planète Terre avec des dunes de sable pour suggérer la magie du désert du Sahara.  C’est le lieu  de la rencontre du Petit Prince avec l’aviateur, son point d’arrivée et celui de sa mort, voire  de son départ pour retourner chez  lui.   
La distribution  comprenait une 20aine de personnes, adultes et enfants, avec  un jeune garçon de 12 ans, Aris Kokkinos,  dans le rôle titre du Petit Prince.  Citons encore Yannis Gavras dans le rôle du Narrateur/aviateur,  Anne-Françoise Van Durme dans le rôle du Serpent,  Jean-Joseph Vienot et Barbara Capone  dans les roles de Commentateurs,  Joseph Doudard  dans le rôle du Renard,  Alain Seller dans le rôle du Roi,  Diego Marani dans le rôle du Vaniteux,  Eric Raffault dans le rôle du Buveur,  Stathis Papastathopoulos dans le rôle du Businessman, Christian André dans le rôle du Geographe, Jan Bierma dans le rôle de l’Allumeur du réverbère,  Jose Bustamante dans le rôle de l’Aiguilleur et Cees Boer dans le rôle du  Marchand des pilules contre la soif.  Les enfants  Brigitte Schürkens, Sandra Sbordoni  et Donatella Di Nardo  ont joué  en alternance la Rose et les Roses.  

* Informations Wikipedia

 


 

 

 

 Distribution

 

 Technique

 

Video

 

   
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Mise en Scène:
Irène Chalkia
  Décors et Régie :  
  Costumes: Costhea, Sara
  Affiche: Théodore Kassapis
  Programme:  
  Secrétaire-Accueil:  
  Assistante ATIE:  
 
 
 


 
 
 

 

 

 

 

 

 

         

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Photos

 

 

 

Petit prince (3...
Petit prince (32) Petit prince (32)

 

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mardi, 22 October 1985 21:12

Electre

Écrit par

une pièce de    SOPHOCLE      mise en scène par  Irène Chalkia

 

 Electre affiche-page-001
 

Représentations
au Centre Joli Bois
Mars 1984

Résumé de la pièce

Le personnage légendaire le plus célèbre parmi ceux qui portent le nom d’Electre est la fille d’Agamemnon et de Clytemnestre. Elle n’est pas connue de l’épopée homérique, mais, chez les poètes postérieurs, se substitue peu à peu à Laodicé, l’une des filles d’Agamemnon, dont le nom n’est plus mentionné à partir de ce moment-là.

Après le meurtre d’Agamemnon par Egisthe et Clytennestre, Electre, qui n’échappe que de peu à la mort, est traitée comme une esclave. Elle est sauvée par sa mère, qui intercède pour elle auprès d’Egisthe. Selon certaines versions, c’est elle qui soustrait le petit Oreste aux mains des meurtriers et le confie en secret au vieux précepteur qui l’emmène loin de Mycènes. Egisthe, pour éviter qu'Electre ne mette au monde un fils qui pourrait venger le meurtre d’Agamemnon, a marié la jeune fille à un paysan installé loin de la ville. Mais son mari a respecté sa virginité.

Selon d’autres auteurs, au contraire, Electre, qui avait été autrefois fiancée à Castor, puis promise à Polymestor, est tenue enfermée dans le palais de Mycènes.

Lors du retour d’Oreste, elle reconnaît son frère, qui est venu, comme elle, auprès du tombeau de leur père, et, avec lui, prépare la vengeance, c’est-à-dire l’assassinat de Clytemnestre et d’Egisthe. Elle prend une part active à ce double meurtre, et, lorsque, par la suite, Oreste est poursuivi par les Erinyes, elle s’occupe de lui. Elle joue un rôle dans différents épisodes de la légende d'Oreste, telle qu’elle a été développée par les tragiques.

Dans l’Oreste d’Euripide, elle participe aux épreuves de son frère et lutte à ses côtés contre l’hostilité du peuple, qui veut condamner les meurtriers à mort.


 

 

 

 Distribution

 

 Technique

 

Video

 

   
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  Electre
Chrysothemis
Clytemnestre
Oreste
Egisthe
Le Précepteur
La Confidente
La Porteuse de Traine
Un jeune Serviteur
Un vieux Serviteur
Le Cuisinier
Une Surveillante
Les Servantes:
Barbara CAPONE
Rita SALLUSTIO
Fabienne HUWAERT
Dimitris PACHTITIS
Christian ANDRE
Eric RAFFAULT
Maria Rosa DE PAOLIS
Giouli KALOUDI
Alain SELLER
Cees BOER
Joseph DOUDARD
Anne-Marie LEMPEREZ
Patricia CORNELISSEN
Danielle DE SMEDT
Marie-Noëlle KLEIN
Brigitte MEIGNANT
Lucia SGARBOSSA

 

 
Mise en Scène:
Irène Chalkia
 
Chorégraphie:
Juan Torres
 
Traduction:
Jacqueline Verdeaux
 
Régie:
Alain Van Lerberge
  Décors:
Charles-Etienne Gudin
Alain Seller
Christian André
Cécile Dargnies
Marie-Noëlle Klein
P.Papachristopoulos
  Réalisation costumes: Voula Makri
  Assistance technique: Marie-Noëlle Klein
  Maquillage: Nicole Lenoir
  Costumes: Costhea, Sara
  Affiche: Charles-Etienne Gudin
  Souffleuse Marilena Damo
  Programme:
Irène Chalkia
Danielle De Smedt
Alain Seller
 
 
 


 
 
 

 

 

 

 

 

 

         

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Photos

 

 

 

Electre (59)
Electre (59) Electre (59)

 

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